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Sujet : La voiture et la moto


De bartoch, le 30 avril 2007 à 00:20

Salut à tous !

Est-ce que quelqu'un se rappelle la couleur de la voiture ?

Est-ce que c'était rose avec des étoiles vertes ou le contraire ?


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De droudrou, le 30 avril 2007 à 07:57

Rose avec des étoiles vertes !


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De jipi, le 30 avril 2007 à 09:42

Avez-vous remarqué dans la scène ou Bebel se rend à Orly en moto qu'il semble chuter sur le macadam, on le voit perdre le contrôle de la moto et le plan est coupé immédiatement à la cosaque, c'est très rapide mais on le voit bien.


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De sépia,, le 30 avril 2007 à 21:14
Note du film : 6/6

Adolescente, quand je voyais ce film, je m'envolais littéralement !

L'exotisme, l'aventure, la fougue de Belmondo accompagnant la fofolle Francoise Dorléac. Le manichéen Jean Servais emportant ses folles certitudes jusqu'au fin fond de l'Amazonie, l'adorable Ubiracy de Oliveira, sir Winston, le petit cireur de chaussures à l'accent irremplaçable ! (dans quoi a t'il joué après ?)Et ces décors Brésiliens accompagnés de chants qui donnaient envie de partir loin….

Vous souvient-il de ce passage ou Sir Winston emmène Adrien et Agnès dans sa cabane perchée la-haut? Et de la mélodie sifflée qui les accompagne dans la nuit tombante ? Magnifique…Oui, je m'envolais avec eux, certaine d'une belle et heureuse vie à venir. Puis, beaucoup plus tard, sans avoir connu le Brésil ni la cabane de Sir Winston, j'installais mes deux bambins devant ce rêve, pour qu'ils s'envolent eux aussi voir le soleil leur dire, d'un rayon, où poser la troisième statuette Maya, et découvrir un trésor…

Vingt six Avril 2007…Je visionne un dvd d'Elie Semoun. Bonus. Elie Semoun, après le spectacle, reçoit quelques invités dans sa loge. Entre alors, l'homme de Rio….Usé par la maladie, le handicap, parlant avec difficulté…Je le revois soudain, gravissant la petite colline pour rejoindre la cabane du petit cireur, j'entends ma mémoire me siffler encore la mélodie de mes quinze ans…et laisse couler une larme. Brouillard sur le Brésil, sur nos rèves et nos vies….


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De Gaulhenrix, le 30 avril 2007 à 22:08
Note du film : 6/6

Une mélancolie douce-amère qui est bien la nôtre, ange nocturne

Du moins Belmondo a-t-il vécu, alors que Françoise Dorléac


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De gibier le motard, le 21 septembre 2010 à 00:47

Bonjour a tous! je suis comme vous fan du film l'Homme de Rio, et en tant que motard du dimanche j'aimerais savoir quelle bécane bebel l'intrépide endort-il dans ce film? merci les potos!


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De Gilou40, le 21 septembre 2010 à 13:49
Note du film : 6/6

Coucou ! V'là l'expert !

Vous pouvez remarquer, dans le film, que Belmondo "emprunte" la moto à un motard de la Gendarmerie.. Or, de 1961 à 1966, c'est la marque Norton qui équipait Police et Gendarmerie Nationale. Vous avez donc sous les yeux, chevauchée par notre Bébel National, une 750 Norton Type Atlas . 750, car, dès 1962 et à la demande du marché Américain, la cylindrée de 500 est portée à 750. Et Atlas, différente des "Big Four", Dominator", "Navigator" ou "Electra"

Mais, pour faire plus simple, juste avant que "Belmondo" pique la moto, elle est sagement garée le long d'un trottoir et on peut lire (presque) aisément la marque sur le réservoir. La forme du logo est très célèbre.

Qu'est ce qu'on dit à Gilou la motarde ?


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De Gilou40, le 21 septembre 2010 à 14:38
Note du film : 6/6

Oh ! J'ai laissé tomber ma passion il y a déja quelques années, quand j'ai eu mes deux petits…Je suis passée à la Clio. Berk ! Mais l'invitation est charmante…


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De Gilou40, le 21 septembre 2010 à 16:38
Note du film : 6/6

Je vous réponds dans votre boite, nous allons nous faire gronder…


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De vincentp, le 21 septembre 2010 à 17:41
Note du film : 4/6

On sent d'un côté la femme au foyer, et de l'autre côté un fonctionnaire heureux.

Si je croise la route de la "femme-kamikaze", je lègue mon coffret Tinto Brass à Impétueux.


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De Impétueux, le 22 septembre 2010 à 17:41
Note du film : 6/6

Un coffret Tinto Brass, dites-vous Vincentp !!!

Quel trésor !! Où avez-vous déniché cette pépite, qui contient notamment Les nuits chaudes de Berlin, à la distribution exceptionnelle qui réunit le viscontien Helmut Berger, et la bergmanienne Ingrid Thulin ! Qui dira après ça que le grand Tinto (à la physionomie toute de raffinement et de distinction : voyez vous-même) n'est pas le maître de la synthèse cinématographique ???

Barbares, va !


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De vincentp, le 22 septembre 2010 à 18:49
Note du film : 4/6

C'est vrai que l'on peut préférer les héroïnes de Tinto à lui-même ! Quelle obsession pour les postérieurs féminins, tout de même !


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