Je n'ai pas vu ce film, Galabru que je connais un peu, m'en a dit un jour le plus grand mal, mais l'affiche donne envie de le voir.
Poule et frites, Hôtel de la plage, A nous les garçons… Le niveau monte !
Quel intérêt y a-t-il à tirer sur ces ambulances que tout le monde a oublié depuis des siècles ?
Ah! la vache !…..Il est de ces soirs ou d'étranges idées nous envahissent. Une cassette poussiéreuse issue d'un ménage intempestif me fait un clin d'œil . "C'est quoi ce truc ?"….Galabru, Luis Rego, c'est peut être sympa et on ne peut pas regarder la fin du jour tous les soirs, surtout quand on est patraque…
Oh non ! Pas ça ! Pitié ! Mais ce n'est même plus une ambulance, c'est ce qu'il peut rester d'un corbillard après des années de bons et loyaux services, Freddy D ! Mais comment peut' on, comment peut' on ? aurait dit Droudrou. Galabru, une énorme banane de rocker sur la tête s'en tire avec quelques onomatopées et des grimaces hideuses, et Luis Régo lui donne non pas la réplique (comment pourrait-il ?) mais rote quelques bouts de charabia seulement compréhensible par ses amis portugais. Jouant de dos (la honte, sûrement) on devine Marc Jolivet apparaît en flic heureux de récupérer trois tonnes de patates abandonnées sur la plage. Ça ne s'invente pas…. Anémone a encore de jolies jambes et essaye de croire en ce scénario d'enfer : un vendeur de frites, installé sur la plage, a une maîtresse et…….et c'est tout ! Voyez caisse. Mais par bonheur, à moitié film, le téléphone a sonné. Et c'est à cet instant que l'on se dit que peu importe qui appelle, il est le bienvenu !
pour Lagardère.
Je comprends vos hésitations à voir La fin du jour un soir de déprime, mais en même temps… Mieux vaut un bourdon de bonne qualité, qu'un cafard bas-de-gamme comme Poule et frites.
Il faut dire que rien que le casting fait déjà rêver…
Le casting fait déjà rêver comme dit PMJarriq ; et le titre, mon Dieu, le titre ! Rien que ça fait froid dans le dos…
En fait, la seule question qui vaille d'être posée est de savoir si ce genre de nullités aura dans trente ou quarante ans le même type de charme bizarre que certains des nanards des années Cinquante où sans être tout à fait dupes, nous jetons un œil attendri sur les paysages de nos douze ans..
…..certains des nanards des années Cinquante où sans être tout à fait dupes, nous jetons un œil attendri sur les paysages de nos douze ans..
A ce propos, j'ai investi 6 euros dans Nous irons à Deauville, je viendrai vous en parler !
pour Lagardère.
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