Comme je viens de voir une mouture vraiment boboche de Roméo et Juliette faite dans mon malheureux pays, je vote symboliquement pour ce court-métrage de 1912 avec la grande Francesca Bertini dans le but d'exorciser, en quelque sorte, les affres qu'effaré je viens de me farcir.
Voilà, c'est coché. Ah, quel soulagement.