Je fantasme sur ce film que j'ai vu une 1ère fois durant mon adolescence.
La dernière fois que je l'ai revu à la TV c'était en 1979 ou 1980.
Ce n'est pas vraiment un western mais un fim très original qui se passe, il me semble, dans le sud des Etats Unis,au XIX° siècle.
A noter une scène angoisante de duel au couteau dans une pièce plongée dans l'obscurité.
A la fin, le héros jette son "bowie", espèce de grand couteau (sa "maîtresse d'acier"), dans la rivière car cette arme ne lui a apporté que des mésaventures.
Depuis aucune rediffusion et toujours pas de DVD…
\la maitresse de fer.
Alan Ladd, Virginia Mayo
grad et beau filmqu'o pet qualifir de western atypque
La maitresse de fer est tout à la fois une qu^te initiatrice, une aventure originale et des
décors magnifiques.
A éditer d'urgence en DVD pour faire découvrir aux jeunes générations.
A +
Antonio
Qu'attendez vous pour réediter ce magnifique film d'aventure originale et romantique.
Je suis certaine qu'il plairait à un jeune public
So long
Myriam
La maîtresse de fer qui peut me l'envoyer svp avec alan ladd!
TRES BON FILM. UNE EDITION EN DVD EST INDISPENSABLE. MAISONS D'EDITION LA FIN D'ANN2E ARRIVE!!!!!
Bonjour,
Enfin, je trouve quelqu'un qui a vu ce film ! pour les mêmes raisons, j'aimerai revoir ce film qui a marqué mon enfance. Est-il sorti en DVD à ce jour ?
a vous lire …. Un passionné de western !
La maitresse de fer, titre de cette œuvre réalisée par Gordon Douglas en 1952, fait référence au poignard de Jim Bowie (Alan Ladd) forgé dans une matière extra-terrestre (provenant d’une météorite), figurant selon les propos de son artisan-créateur, « le ciel ou l’enfer ». Nous sommes en 1825 à la Nouvelle-Orléans et dans les marais alentours. Le petit monde de cette époque est reconstitué avec soin et faste (des décors somptueux dans la salle de jeu ou de bal, des costumes d’époque). Alan Ladd et Virginia Mayo sont au cœur d’un drame romantique croisé avec un récit d’aventures. Le scénario est sans faille et développe une large thématique sur près de deux heures (sens de l’honneur et du devoir, rapports entre la morale et l’argent, les sentiments et la raison), thématique déclinée finement en péripéties parfaitement assemblées les unes aux autres.
Dans l’absolu, on pourra considérer que la mise en scène de Gordon Douglas ne possède pas la magie ou la fluidité de celle des plus grands maîtres d’hollywood de l’époque tels Raoul Walsh, Anthony Mann ou Vincente Minnelli. Douglas est plutôt un solide artisan que l’on pourrait ranger aux cotés d’un Allan Dwan par exemple. Mais la mise en scène de The iron mistress, sobre et fonctionnelle, est de grande qualité. La bataille poignard contre épée dans l’obscurité est un grand moment de cinéma. D’autres séquences (comme l’entrée du personnage vue en plongée depuis l’espace qui sépare un lustre du plafond) sont originales et marquantes. Le duo d’acteurs principaux est extrêmement performant, accordé à la perfection. Le visage d’Alan Ladd porte avec la modulation adéquate tous les sentiments et émotions de son personnage ambigu.
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