Christian Chamborant était mon grand père, malheureusement il a disparu l'année de ma naissance.
Dans Marinella il apparaît quelques instants, ce qui m'a permis de le voir.
Comme quoi il faut que ces films vivent et vivent encore et quelles que soient leurs qualités ! Marinella est une bluette un peu simplette, qui s'appuie sur un des plus grands succès de Tino Rossi.
C'est niais, dégoulinant de mièvrerie, fadasse à souhait, d'accord. Mais commenter quoi ? Notez quoi ? Ce contributeur a aperçu son grand père au détour d'un plan. Ça restera peut-être le film le plus important de sa vie. Ça n'a pas de prix !
Vous avez parfaitement raison, Tamatoa ; bien souvent, sur ce site, je me suis demandé si je n'avais pas perdu mon temps en regardant un Berthomieu ou un Boutel et en commentant leur film au lieu d'aller découvrir des oeuvres de haute lisse…
Mais si nous ne parlons pas de ces petits films-là, qui en parlera ? Et nous savons bien tous qu'un réalisateur, un acteur, un film ne meurent tout à fait que lorsqu'on n'en parle plus…
Je n'ai pas beaucoup de goût pour Tino Rossi et La belle meunière,
seul film que j'ai vu de lui en vedette, me semble une des plus navrantes erreurs de Pagnol
; mais ça ne fait rien : il nous faut Marinella,
Naples au baiser de feu,
Destins
et tout le toutim…
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