Il y a ceux à qui plaît davantage leur petit Liré gaulois et qui se contentent et s'emplissent des paysages mille fois revus, dont ils connaissent chaque repli et chaque méandre.
Il y a ceux qui éprouvent une attirance particulière pour un continent ou une contrée qui, pour de mystérieuses raisons, leur parlent davantage, et qui, sans mépriser la pluralité des beautés du monde, n'éprouvent d'attirance que pour quelques paysages, et nullement pour d'autres…
On dit ainsi, quelquefois, ou on disait, du temps de la défunte Ecole Nationale de la France d'Outre-Mer, qui formait les administrateurs coloniaux, qu'il y avait les amoureux de l'Afrique et les amoureux de l'Asie, et que bien peu de choses réunissait les uns et les autres….Eh bien moi, c'est l'Afrique. Parcourue largement, sinon sillonnée, toujours sujet d'émerveillement et d'étonnement… et pas du tout l'Asie, trop étrangère pour m'être étrange…
Et l'Afrique, pour moi, c'est HatariComme si c'était simple ! Comme si certains n'ont pas porté, en toute bonne foi, ce qu'on appelait jadis "le fardeau de l'homme blanc" !
Tout ceux qui ont vibré à cette histoire simple d'hommes (et de femmes) passionnés d'Afrique, amoureux de la terre d'Afrique, de son parfum, de sa sauvagerie et de sa douceur, reconnaissent en HatariAh ! boire, à la nuit tiède tombée son whisky avec John Wayne et Red Buttons
(Pocketts), alors qu'on entend au loin les bavardages et les rires complices d'Elsa Martinelli
et de Michèle Girardon
…Que souhaiter de plus délicieux, en sachant qu'au lendemain on va essayer d'aller capturer un rhino ?…
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