Enfin un vrai film de cannibalisme, c'est dommage d'ajouter des massacres d'animaux à tout celà. Les acteurs sont dans le ton et les filles sont jolies.
« Enfin un vrai film de cannibalisme, c'est dommage d'ajouter des massacres d'animaux ».
« Quand il y a partout tant de pitié pour les animaux, il en reste bien peu pour l'homme. » -Leonardo Sciascia
En réponse à
« Quand il y a partout tant de pitié pour les animaux, il en reste bien peu pour l'homme. » -Leonardo Sciascia
C'est une jolie phrase, à laquelle il est difficle de ne pas adhérer. Mais impropre au contexte.
Je rappelle que c'est du cinema, de l'imaginaire. Et que malheureusement pour les animaux vu dans le film, c'est pas pour rire. Et c'est cela que j'ai du mal à accepter.
J'aime le homard – que l'on ébouillante – et le foie gras – qui vient d'oies et de canards gavés – ; où est la différence ? L'animal est fait pour l'homme : que l'homme, sans cruauté gratuite (c'est "gratuite", qui est important) en dispose…
Ouh-là ! Si Brigitte Bardot tombe sur ce site, ça risque de devenir sérieux, là…
J'avoue ! Mais, vis-à-vis de Brigitte Bardot, j'ai un talisman : j'ai de longue date pensé qu'elle était cent fois meilleure chanteuse qu'actrice (c'est vrai, ce n'était pas très difficile) ; et lors d'une rencontre, je lui ai longuement parlé, lui ai fait dédicacer son intégrale en 3 CD et obtenu un regard amical ; est-ce que ça suffira ? Sûrement pas ! Mais le choc sera amorti !
(Quoi ? Ce trublion d'Impétueux a, de ses yeux vu Brigitte Bardot ? lui a parlé ? Et oui, mes enfants ! c'est le privilège de l'âge ! Et si vous êtes bien sages, votre vieil oncle vous racontera un jour comment il a noué au cou de Lauren Bacall (mais oui ! le "look") le cordon de Commandeur des arts et des Lettres…
Et bien d'autres histoires merveilleuses !
« Je rappelle que c'est du cinema, de l'imaginaire. Et que malheureusement pour les animaux vu dans le film, c'est pas pour rire. Et c'est cela que j'ai du mal à accepter. »
Dont acte. Faux cannibalisme, vrai bêticide. Donc, en effet, mon recours à l'Aigle de Racalmuto – c'est moi qui surnomme ainsi monsieur Sciascia – n'était pas pertinent.
Cela dit, c'est plus qu'une belle phrase : c'est un avertissement. Dans le même livre (Noir sur noir, Journal 1969-1979), mais sur un tout autre sujet, Sciascia trouve les raisons du philonazisme de l'écrivain norvégien Knut Hamsun (Prix Nobel) dans son amour excessif de la nature. « La nature, il ne faut jamais trop l'aimer. Car on finit par peu aimer l'homme. » Il m'est difficile de ne pas être d'accord, d'autant plus qu'on trouve le même amour "panique" de la nature (au sens du dieu Pan) dans les idées du chef nazi norvégien Quisling : en extase, en transe même, devant la Nature.
Je me retaperais bien l'antidote Deliverance.
Un regard amical de Brigitte Bardot, mmh? Votre femme savait que vous étiez là, au moins? Car après tout, vous êtes impétueux… C'est vous-même qui le dites, alors…
Et le regard de la lumineuse et indestructible Lauren Bacall, il était comment? Je vous promets d'être sage. Racontez-nous !
Quoi qu'il en soit, nous savons maintenant que vous avez vos entrées auprès des stars. Si, si, ne faites pas le modeste. Jamais pris un café ou une bière avec Catherine Spaak, des fois ?
Ces choses là sont trop intimes (je n'ai pas écrit "trop coquines" !) pour être diffusées urbi et orbi !
Je vous conterai cela dans un message direct !
Mais hélas ni Catherine Spaak, ni Gina Lollobrigida !
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