Forum - Le Cheik blanc (Courrier du cœur) - Quoi ? Comment ? Sordi / Fellini et...
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Forum : Le Cheik blanc (Courrier du cœur)

Sujet : Quoi ? Comment ? Sordi / Fellini et...


De Arca1943, le 13 février 2006 à 04:02
Note du film : 4/6

Le Cheik blanc n'est même pas en DVD Zone 2 ? Qu'est-ce que c'est que ce scandale ?


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De Impétueux, le 13 février 2006 à 08:55
Note du film : 2/6

Je n'ai vu qu'une fois ce Fellini-là…et je crois bien que de toute sa filmographie, c'est cette oeuvre que je préfère !

Je vous rejoins avec plaisir !


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De Sandokan, le 13 février 2006 à 16:22
Note du film : 5/6

Je me joins à vous ! Un des premiers grands rôles pour Alberto Sordi.


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De vincentp, le 1er août 2008 à 00:36
Note du film : 4/6

Ah, même le regretté Sandokan a voté, aux ordres de son mentor Arca1943 ! C'est une oeuvre de jeunesse de Fellini, bien impersonnelle, percluse de promesses certes mais aussi de défauts. L'on s'étonne que Impétueux ait un penchant pour ce Fellini-là ! D'autant que l'actrice Brunella Bovo parait bien faiblarde (mais avec l'excuse de la jeunesse) ! Elle est toujours en vie, a 76 ans, et nous lui souhaitons une bonne santé. Signalons pour les aveugles la convergence thématique entre ce film et La rose pourpre du Caire de Woody Allen. Et puis c'est vrai, il y a déjà la péripatéticienne Cabiria qui arpente le trottoir.


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De Impétueux, le 1er août 2008 à 10:00
Note du film : 2/6

Je dois à la vérité de dire que je n'ai pas vu Le Cheik blanc depuis longtemps et que le souvenir que j'en ai est peut-être enluminé par les ans… Mais je me souviens suffisamment avoir été séduit par cette histoire d'illusion et de déception d'une brave gourde découvrant que son héros de roman-photo (Alberto Sordi) est pusillanime et veule à contre-proportion exacte de ses espérances… Mais je ne me souviens plus du tout de la fin du film (est-ce que ça se termine bien ou mal ?) …

Il faut que je m'achète le DVD paru dans l'excellente (et disparue !) collection Canal+ classique. Je m'amuserai à faire la comparaison avec le délicieux 3 amigos de John Landis où de pitoyables héros de serials sont poussés à l'héroïsme !


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De PM Jarriq, le 1er août 2008 à 10:08

Un thème repris dans le délectable Galaxy Quest, une merveille méconnue que je recommande chaudement.


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De Noodles, le 25 novembre 2011 à 09:39

D'une certaine manière on pense aussi à La rose pourpre du Caire.


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De Impétueux, le 20 septembre 2014 à 11:24
Note du film : 2/6

J'avais bien tort de me fier à un souvenir très ancien (un passage à la télévision il y a plus de trente ans) pour porter en haute estime ce premier film de Fellini, presque aussi foutraque, hétéroclite et mal maîtrisé que la plupart de ses autres réalisations ; mais je note que quelque chose en moi, la partie reptilienne de mon cerveau ou une monition divine (au choix) m'a interdit d'acquérir le DVD aux temps où j'en achetais des kyrielles : voilà une économie bienvenue.

Bien sûr, ça n'est pas tout à fait négligeable et le scénario serait même assez intéressant de ce jeune couple en lune de miel qui, à peine arrivé à Rome manque d'éclater mais sort renforcé de l'aventure. Tout cela parce que, alors que le mari, Ivan Cavalli (Leopoldo Trieste) garçon coincé et respectable, doté d'une famille de même métal ne songe qu'à l'audience pontificale qui aura lieu le lendemain, la jeune épouse, Wanda (Brunella Bovo) rêve de rencontrer son idole, Fernando Rivoli (Alberto Sordi), le Cheik blancd'un roman-photo populaire.

Naturellement, au lieu d'être un héros bienveillant et courageux à noble caractère, Rivoli se révélera être un pitre couard et vulgaire. Tout finira bien, après mille péripéties malheureusement assez prévisibles.

J'ai eu la sévère impression, durant les trois quarts du film que Fellini traitait ses personnages comme des clowns, les faisant surjouer, rouler les yeux, prendre des mines, cavalcader comme si l'on était aux vieux temps du muet. L'intrigue, qui aurait mérité à la fois une précision horlogère et un peu de bienveillance avec les personnages, ennuie sérieusement une fois qu'elle est posée et se traîne pesamment. On ne sent pas même le bout de pathétique qu'il n'était pas si difficile que ça de faire apparaître, le côté miroir aux alouettes, la déception qu'on conservera toute une vie… Ce qu'auraient su très bien traiter les maîtres de la comédie à l'italienne qui, Dieu merci, n'a plus que quelques années à se faire attendre…

… Et où on retrouvera souvent le génie d'acteur d'Alberto Sordi, seule satisfaction du Cheik blanc, malheureusement trop peu employé pour hausser le film de Fellini à une note simplement moyenne.


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