L'histoire est une chronique, celle de Jack Morrison qui se retrouve bloqué dans un immeuble en feu, entouré par les flammes. Depuis cette situation dramatique, il se remémore sa vie depuis le moment où il prit son premier poste comme « bleu » jusqu'au moment du drame. On y voit sa vie quotidienne et les valeurs fortes qui est celle de ces courageux combattants du feu : l'amitié viril et solide (face au feu les moindres désaccords disparaîssent), l'amour, la famille, les dilemmes familiaux (faut-il continuer d'aller au feu alors qu'on est père de deux enfants).
On l'aura compris, nous sommes ici dans le pur film de propagande. Heureusement la cause n'est pas négative, ce qui rend la pilule bien plus facile à avaler.C'est évidemment sans grand intérêt, mais ça se laisse regarder, comme un bon téléfilm.La mise en scène de a=Jay Russell] est d'une étonnante platitude, sans grande inventivité. Elle ne réussit même pas à jouer la carte du spectaculaire.
Côté comédiens, rien à redire. Les deux comédiens en haut de la fiche ont réputation de surjouer et ici ils n'en font pas trop. John Travolta reste sobre et même Joaquin Phoenix malgré ses kilos en trop réussit à rester crédible, évitant de nous faire sa sempiternelle scène dans laquelle il pleure.
Un pompier prisonnier d'un immeuble en flammes se remmémore sa carrière et sa vie personnelle celles-ci étant intimement liées. On prend un réel plaisir à suivre la vie d'une caserne pendant une décennie avec ses joies et ses peines. On se prend d'affection pour cette équipe de copains (certains s'appréciant entre eux plus que d'autres). Les images d'incendie sont trés spectaculaires. La fin est des plus émouvantes et le but du film (hommage aux sapeurs du monde entier) est amplement rempli.
Page générée en 0.0020 s. - 5 requêtes effectuées
Si vous souhaitez compléter ou corriger cette page, vous pouvez nous contacter