Gaspard Ulliel pour le Dimanche, ça commence déjà mal. Franchement, il est d'un insipidité sans nom dans ce film, jouant une sorte d'autiste souriant… Mais bon, peut-être est-ce cela qu'être acteur en 2005.
Sara Forrestier est bien plus logique, même normal.
Attendons la suite.
On peut être très attendue et très méritée. Je préfère un prix mérité et moins surprenant que le contraire.
Scénario maintenant. La encore pas de surprise, mais une satisfaction. La révolte du numérique (plutôt que la révolution). L'esquive se fait jeter de partout et de tout le monde (dont l'avance sur recette) obligeant les auteurs à recourir (pour le mieux d'ailleurs) au numérique ! Et voilà que le scénario remporte le prix. Douce vengeance. Bien !!
premier film. C'est sûr, cela aurait fait plaisir à Humbert Balsan, son producteur, suicidé il y a quelques semaines.
Au fond…, la claque pour les Choristes, une réponse cohérente pour Un long dimanche de fiançailles qui obtient un palmarès du genre "c'est bien fichu mais c'est vide". En tout cas, le grand gagnant est l'outsider, le film en DV, refusé et haï par tous (mais faut avouer que le réalisateur n'est pas doué – jusque là – pour (se) vendre) L'esquive. Que ce soit le meilleur film de l'année?… Sans doute. Que sa comédienne soit la révélation? Sans nulle doute… Mais que ce soit la meilleure réalisation de l'année. Sans doute que non. La mise en scène est constante du début à la fin, sans rupture, sans ingéniosité, sans remise en question. Un peu comme – dans un autre genre – celle de 36 quai des Orphèvres. Elle paraît finalement un peu feignante… Le prix, ce prix, semble un peu usurpé… Mais d'un autre côté, une question se pose : qui d'autre?
Et si, in fine, se posait la question de césars attribués – en grande partie – à des "faute de mieux"…
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