Bonjour, j'ai vue "la voix des morts" hier soir j'aimerais en savoir plus sur ce qu'ils appelle le "PVE", oh non je ne veut pas contacter mon arriere mere grand, juste voir, comprendre si le "PVE" existe biensur…
Mille merci pr vos infos
Jade
Coucou c'est encore moi, j'vais répondre a mon post toute seule car j'ai trouvés quelques infos, si ca peu interresser quelqu'un…voici une adresse ou "tout y est" bonne lecture a tous :)
http://transcommunication.org/fr/index.html
Communiquer avec les morts, c'est une des grandes obsessions humaines. Et quelques films ont réussi à faire passer le frisson ("La maison du diable" de Robert Wise, entre autres ou "Shining"). L'approche de "White noise" se veut plus "documentaire" et si cela intrigue au début, l'intérêt retombe vite, à cause d'une énième histoire de serial killer plus ou moins possédé par de mauvais esprits. Dommage, parce que le premier tiers est très angoissant et Michael Keaton – étrangement teint en blond ! – montre parfaitement la chute de son pesonnage dans l'obsession et la folie autodestructrice. Après, c'est du tout venant : des effets piqués au "Sixième sens", des scènes convenues, des protagonistes mal développés (quand cessera-t-on de donner des rôles de comparses stupides à la sublime Deborah Kara Unger ?). Au bout du compte, c'est de l'honnête série B, bien réalisée, mais au scénario faible et superficiel (le flic de service ne soupçonne jamais Keaton qui se trouve quand même mêlé à toutes les morts violentes !). Et c'est d'autant plus rageant que c'est typiquement le genre de film que l'amateur de fantastique aimerait aimer.
moi aussi je suis obsedée par sa j'aimerais savoir si se genre de communication existe je voudais contacter ma grand mère savoir si elle va bien… c'est très important pour …
jade merci pour le lien sa ma aidé…
Un homme perd la femme de sa vie et se laisse convaincre que l'on peut communiquer avec le royaume des morts par les ondes radios et TV. Ce sujet aurait pu laisser la porte ouverte à un grand nombre de pistes ou sujets différents (suspens, horreur ou au contraire tendresse et guimauve). Et c'est là que le bas blesse. On passe sans arrêt d'un style à l'autre le suspens l'emportant enfin dans la deuxième moitié du film. Mais cela reste trés mou avec en point d'orgue la composition monolythique de MICHEAL KEATON (j'ai même cru à un moment que c'était fait exprés et qu'il était l'assassin de sa femme revenue le hanter… Ca comme fin cela aurait été trés décoiffant).
Bref on ne s'ennuie pas mais un tel sujet mais un tel sujet et un tel éventail de directions possibles auraient mérité beaucoup plus de folie.
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