« La faim, dans le cinéma comique de ces années-là, occupait une place extraordinaire. Il ne manquait jamais une scène avec d'énormes baguettes, d'immenses plats de spaghetti, et le héros jouait sa place, son avenir, ou renonçait à une blonde provocante pour une soupière de pasta e fagioli, une pizza au diamètre monumental… »
Ce passage de La Prédominance du crétin, par Fruttero et Lucentini, a de nouveau émoustillé mon appétit pour les comédies de Totò. De celle-ci en particulier, j'ai toujours entendu dire le plus grand bien. D'où mon vote !