Les festins et autres agapes approchant à grand pas, voici un menu pas ordinaire. Le titre original de ce film de Nelson Pereira dos Santos peut en effet être traduit par : "Comme il était succulent, mon petit Français!" Une suggestion originale, pour échapper au cliché de la dinde farcie ou, de ce côté-ci de l'Atlantique, de la tourtière…
L'éloge de Cannibal Holocaust par Impétueux m'ayant émoustillé les papilles, je fais prendre l'air à la fiche de ce film. Le traitement, j'en ai peur, y est beaucoup plus sobre. Mais on y dévore un Français : n'est-ce pas l'essentiel ?
Toujours pas de petit Français à me mettre sous la dent. Que mijotent les éditeurs ?
Je veux bien voter si vous me jurez, Arca, que ça finit mal et que les indigènes, à la fin, ont une idée de notre gastronomie…par procuration, si j'ose écrire !
C\'est avec plaisir, cher Impétueux, que je vous confirme que cela se termine très mal pour le malheureux quoique succulent Français. Cela dit, on est aux antipodes d\'un film d\'exploitation comme Cannibal Holocaust : il s\'agit d\'une fiction historique et ethnographique des plus sérieuses, agrémentée d\'une touche d\'humour noir.
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