Voilà qui débarrasse la plus belle avenue du monde de toute la racaille venue bouffer des MacDo en empruntant les RER;
Qu'on prenne l'exemple de la sublime avenue Montaigne ou de la rue du Faubourg Saint Honoré.
La racaille de banlieue dispose déjà de ses centres commerciaux pourris, laids et misérables.
A ma connaissance ce sont des lieux de culture qui ferment, et non les fast-foods.
Je ne vois pas en quoi la fin des cinémas, des disquaires et des Fnac au profit de boutiques d'habillement hors de prix est une bonne chose. Ce sont des outils de transmission du savoir qui disparaissent. Il s'agit donc de mon pont de vue d'une régression.
C'est la victoire de plus en plus évidente de la rentabilité à tout prix sur la culture. Mais ainsi vont le libéralisme et la société de con-sommation…
Avez-vous regardé ce qu'achètent les gens qui fréquentent Les FNAC ? Du rap, de la BD, des romans d'Annie Ernaux ? Tout le dégueulis de la prétendue culture actuelle !
Que ces gens-là aillent se cacher dans les boutiques où l'on vend du Superman en plastique et des mangas nippons décérébrés…Si vous vous voulez voir de la culture allez dans les petites librairies intelligentes des 6e et 8e arrondissements. Et laissez la racaille adorer leurs veaux d'or
Ah OK. Je n'avais jamais remarqué que les Fnac (ou les UGC et les virgin) étaient des taudis qui ne vendaient que de la daube et qui méritaient la fermeture pour cette raison. C'est dans une fnac que j'ai acheté Les guerriers de l'apocalypse récemment.
Quand aux librairies du 6e et du 8e, elles ont elles aussi été concernées par les fermetures : citons Gibert Jeune, la hune, picard et epona entre autres. La culture est menacée par les loyaux trop importants un peu partout dans Paris.
Je persiste à penser que les lieux qui vendent de la culture ont tout autant leur place que des boutiques Vuitton ou Dior qui ne me concernent pas. Après ce que les gens font de leur cerveau et de leur argent, c'est me semble t-il, un autre sujet.
Avec 181 millions d'entrées en salles en France en 2024 le cinéma semble bien se porter. Je n'y suis pour ma part allé que 4 ou 5 fois en douze mois.
nous sommes en pleine régression intellectuelle et culturelle au profit du matérialisme et nous retournons voir les jeux du cirque qui ne nourrissent pas sauf le producteur réalisateur !
Des voix s’élèvent pour que Paris continue d’être une ville ou l’on vit et non pas une ville destinée aux touristes (Le Figaro du 10 janvier). Et pour que vive l’âme des quartiers.
https://www.lefigaro.fr/vox/societe/fermeture-des-cinemas-sur-les-champs-elysees-projets-urbains-douteux-tourisme-de-masse-non-a-l-uniformisation-de-paris-20250110
L’avenue des Champs-Élysées, autant photographiée que délaissée des Parisiens, en est devenue l’un des plus emblématiques exemples. Elle fut pourtant un point de rendez-vous incontournable. Sa diversité commerciale et culturelle en faisait un lieu de brassage social et générationnel. En vingt ans, la plus célèbre avenue du monde aura perdu son offre de cinéma, de music-hall, de commerces à vocation culturelle, tout ce qui faisait son rayonnement, son identité et son charme.
Nos libraires, nos cinémas, nos théâtres, nos fleuristes, nos fromagers, nos bouchers, tous ces lieux qui participent de l’âme des quartiers sont remplacés par des magasins aussi éphémères qu’inutiles. L’augmentation astronomique des loyers met en difficulté les derniers indépendants qui résistent et décourage toute nouvelle installation.
La déshérence commerciale ou la mono-activité ne sont pas des fatalités. La multiplication des zones de protection du commerce et de l’artisanat dans le plan local d’urbanisme (PLU) en est un. Ce document structurant de transformation de la ville peut, quand il est suffisamment ambitieux, garantir la préservation du patrimoine et des équilibres dans les quartiers notamment entre logements, commerces, équipements sportifs et culturels ainsi que services publics.
Voilà quelqu'un avec qui je suis en phase. Il faut lutter comme à Barcelone, contre le surtourisme qui transforme une ville en parc d'attraction, et privilégier le bien-être des habitants. Paris n'est pas la seule ville concernée en France. Il faut voir la dégradation par exemple de la vieille-ville d'Annecy en vingt ans : les habitants s'en vont au profit de airbnb. Mal-entretenus, les immeubles y deviennent vétustes et à la proie des incendies.
@Impétueux : il ne s'agit pas de la racaille face aux bourgeois comme au temps de Marcel Proust. Il s'agit des habitants face aux touristes, fléau actuel un peu partout, lié à la mondialisation. Je vous invite à mettre à jour votre logiciel interne, qui doit dater des années 1950, et qui doit surprendre nos lecteurs âgés de moins de 80 ans.
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