Accueil

Filmographie

Voici les films auxquels Viktor Tourjansky a participé. Vous pouvez compléter ou corriger cette filmographie.

Ordre : (Par date) (Par titre)
Rôle de Viktor Tourjansky : (Tous) (Réalisateur) (Scénariste) (Acteur) (Assistant réalisateur)

1961
Freddy und der Millionär (Cinéma) – Réal. Paul May – Freddy Quinn, Grit Boettcher, Vittoria Prada


Donnez votre avis
1960
Les Cosaques (Cosacchi, I) (Cinéma) – Réal. Viktor Tourjansky, Giorgio Venturini – Edmund Purdom, John Drew Barrymore, Giorgia Moll

En Russie, à la fin du XIXeme siècle, le tzar Alexandre II vient d'échapper à un attentat, grâce au réflexe d'un de ses officiers, Giamal, et ce Giamal est un caucasien, le fils du Cheikh Shamil, l'en […]

Donnez votre avis

1959
Le Roi cruel (Erode il grande) (Cinéma) – Réal. Viktor Tourjansky – Edmund Purdom, Sylvia Lopez, Massimo Girotti


Donnez votre avis
1959
Les Bateliers de la Volga (I Battellieri del Volga) (Cinéma) – Réal. Viktor Tourjansky – John Derek, Elsa Martinelli, Dawn Addams

La Russie sous le règne d'Alexandre III. Le capitaine Alexej Orlof est dégradé et envoyé dans un bataillon disciplinaire à Donbrovka, en Sibérie, pour avoir tenté de venger le viol de sa fiancée par l […]

Donnez votre avis

1958
Les Yeux noirs (Petersburger Nächte) (Cinéma) – Réal. Paul Martin – Ewald Balser, Johanna von Koczian, Ivan Desny

A St-Petersbourg au début du siècle, la jeune Tatiana a fuit son collège et revenir chez ses parents. Un homme riche tente de la séduire.

Il l'emmène dans un cabaret ou travaille le père de la demois […]

Donnez votre avis
1955
Die Toteninsel (Cinéma) – Réal. Viktor Tourjansky – Willy Birgel, Michael Cramer, Victor de Fast


Donnez votre avis

1950
Vom Teufel gejagt (Cinéma) – Réal. Viktor Tourjansky – Hans Albers, Willy Birgel, Lil Dagover


Donnez votre avis
1949
Dreimal Komödie (Cinéma) – Réal. Viktor Tourjansky – Margot Hielscher, Mady Rahl, Margarete Haagen


Donnez votre avis

1949
Der Blaue Strohhut (Cinéma) – Réal. Viktor Tourjansky – Margot Hielscher, Karl Schönböck, Gisela Schmidting


Donnez votre avis
1948
Si te hubieses casado conmigo (Cinéma) – Réal. Viktor Tourjansky – Antonio Bofarull, Modesto Cid, Tony d'Algy


Donnez votre avis

1945
Il Sole di Montecassino (Cinéma) – Réal. Giuseppe Maria Scotese – Fosco Giachetti, Adriana Benetti, Liliana Laine


1 message dont 1 vote pour une (ré)édition DVD
1944
Orient-Express (Cinéma) – Réal. Viktor Tourjansky – Siegfried Breuer, Gusti Wolf, Rudolf Prack


Donnez votre avis

1943
La Coupole de la mort (Tonelli) (Cinéma) – Ferdinand Marian, Winnie Markus, Mady Rahl


Donnez votre avis
1941
Illusion (Cinéma) – Réal. Viktor Tourjansky – Brigitte Horney, Johannes Heesters, O.E. Hasse


Donnez votre avis

1940
Les Frontaliers (Feinde) (Cinéma) – Réal. Viktor Tourjansky – Brigitte Horney, Willy Birgel, Reinhold Lütjohann


Donnez votre avis
1935
Les Yeux noirs (Cinéma) – Réal. Viktor Tourjansky – Harry Baur, Simone Simon, Jean-Pierre Aumont

La Russie en 1913. Un homme veuf élève sa fille dans l'ignorance du métier qu'il exerce, maître d'hôtel dans un restaurant de rendez-vous. La jeune fille rencontre un banquier qui veut la séduire et l […]

Donnez votre avis

1934
Volga en flammes (Cinéma) – Réal. Viktor Tourjansky – Albert Préjean, Danielle Darrieux, Valery Inkijinoff
DVD Z2 : sorti
Un aventurier s'est proclamé tsar du peuple, et à la tête d'une horde de bandits, rançonne les campagnes. Il fait pendre les officiers sauf un qui le sauva jadis et qui revient à la tête d'une armée a […]

3 messages
1933
L'Ordonnance (Cinéma) – Réal. Viktor Tourjansky – Jean Worms, Marcelle Chantal, Alexandre Rignault
DVD Z2 : sorti
épouse d'un colonel beaucoup plus âgé qu'elle ne peut résister aux avances d'un fringant lieutenant et devient sa maîtresse. Surprise par l'ordonnance qui l'oblige à se donner à lui, elle rentre chez […]

1 message

1925
Michel Strogoff (Cinéma) – Réal. Viktor Tourjansky – Ivan Mosjoukine, Nathalie Kovanko, Jeanne Brindeau

Scène d'aventure en 2 chapitres. Michel Strogoff est chargé par le Tzar de transmettre aux populations fidèles de la Sibérie en révolte, un message d'un importance capitale. Michel, qui voyage sous un […]

1 message dont 2 votes pour une (ré)édition DVD
1924
Les Deux masques (Cinéma) – Réal. Viktor Tourjansky – Nathalie Kovanko, René Maupré, Jeanne Brindeau

Orpheline, Ellen est recueillie par une tante hautaine et méprisante, qui lui fait épouser son fils Jean. Par la suite, elle découvre qu'elle est en fait très riche, et que Jean ne l'a épousé que pour […]

Donnez votre avis

1924
Ce cochon de Morin (Cinéma) – Réal. Viktor Tourjansky – Nicolas Rimsky, Denise Legeay, Louis Monfils

Un paisible négociant de La Rochelle, revient chez lui après avoir bu le champagne à Montmartre. Dans le train, il cherche à embrasser une jolie voyageuse. C'est le scandale, il écope d'un procès verb […]

Donnez votre avis
1923
Calvaire d'amour (Cinéma) – Réal. Viktor Tourjansky – Charles Vanel, Jeanne Bérangère, Nicolas Koline

Une jolie jeune femme a epousé sans amour Bremond. Ce dernier, appelé au Senegal, prend soin de demander à son homme d'affaire de surveiller son épouse. Celle ci fait la connaissance, durant l'absence […]

Donnez votre avis

1923
Le Chant de l'amour triomphant (Cinéma) – Réal. Viktor Tourjansky – Joe Alex, Jean Angelo, Jean d'Yd

Muzio et Fabio, deux jeunes artistes de Ferrare, aiment une jeune fille d'une grande beaute, Valeria. Elle choisit Fabio. Parti en Orient pour l'oublier, Muzio revient quelques annees plus tard…

Donnez votre avis
1922
Les Contes des Mille et une nuits, chapitre 3 : L'enterrée vivante (Court-Métrage) – Réal. Viktor Tourjansky – Bartkevitch, Eugénie Boldireff, Jules De Spoly

L'histoire que conte la princesse Shéhérazade, favorite d'une nuit du calife. Des amants sauvés par miracle de la mort, suivent une riche caravane, qui tombe dans les mains du méchant sultan. Ce derni […]

Donnez votre avis

1922
Le Quinzième prélude de Chopin (Cinéma) – Réal. Viktor Tourjansky – André Nox, Nathalie Kovanko, Madame Jousakoff

Une femme épouse un musicien, a un amant avec qui elle s'enfuit. Le frère et la soeur de ce dernier connaissent le musicien et continuent de le fréquenter. On trouve l'amant mort mystérieusement et le […]

Donnez votre avis
1921
Les Contes des Mille et une nuits, chapitre 2 : la ville pétrifiée (Court-Métrage) – Réal. Viktor Tourjansky – Nathalie Kovanko, Nicolas A. Rimsky, Varvara Yanova

L'histoire que conte la princesse Shéhérazade, favorite d'une nuit du calife. Des amants sauvés par miracle de la mort, suivent une riche caravane, qui tombe dans les mains du méchant sultan. Ce derni […]

Donnez votre avis

1921
Les Contes des Mille et une nuits, chapitre 1 : Goul-y-Hanar (Court-Métrage) – Réal. Viktor Tourjansky – Bartkevitch, Eugénie Boldireff, Jules De Spoly

L'histoire que conte la princesse Shéhérazade, favorite d'une nuit du calife. Des amants sauvés par miracle de la mort, suivent une riche caravane, qui tombe dans les mains du méchant sultan. Ce derni […]

Donnez votre avis
1921
L'Ordonnance (Court-Métrage) – Réal. Viktor Tourjansky, Ermolieff-Films – Nathalie Kovanko, Alexandre Colas, Paul Hubert

Surpris par l'ordonnance de son mari, dans les bras de son amant, la femme du colonel Limousin se donne à ce dernier pour lui acheter son silence. La suite sera des plus dramatiques.

Donnez votre avis

1918
Surogaty lyubvi (Cinéma) – Réal. Viktor Tourjansky – Pola Negri, Viktor Tourjansky


Donnez votre avis
1918
Bal gospoden (Cinéma) – Réal. Viktor Tourjansky – Vitold Polonsky, Aleksandr Cheban, Nathalie Kovanko


Donnez votre avis

1915
Les Frères Karamazov (Bratya Karamazovy) (Cinéma) – Réal. Viktor Tourjansky


Donnez votre avis

 

Biographie

Viktor Tourjansky

Né à Kiev, Tourjansky débute comme acteur chez Stanislavski puis passe au cinéma dès 1912. On trouve son nom au générique de Frères de Tchardynine (1913) où il côtoie Mosjoukine. Son activité de réalisateur se développe surtout dans les années 1918-1920 où il travaille pour Kozlovski, Iourev & Cie. On remarque, dès cette époque, la présence de Nathalie Kovanko qui est son épouse et à laquelle une bonne partie de son œuvre est associée. Ses films sont le plus souvent des drames, des « chansons tristes » à la Vertinski comme on dit alors. Il quitte Moscou pour Kiev puis Yalta où les studios se sont repliés pendant la guerre civile et tourne jusqu'à la défaite des armées blanches. Péché et rédemption, son dernier film sera distribué en URSS en 1922. Il se rend ensuite à Constantinople avec sa femme et son beau-frère Boris Fastovitch qui est à la tête d'une troupe de théâtre, puis à Athènes enfin à Paris via l'Italie. Rejoint-il d'emblée les Russes de Montreuil regroupés autour d'Ermolieff et Mosjoukine ? On le retrouve en tout cas au Théâtre des Champs-Élysées où il monte deux opéras dont la Dame de Pique, et à Montreuil où il tourne l'Ordonnance d'après Maupassant avec Nathalie Kovanko en vedette féminine. Le film (aujourd'hui perdu) sort en février 1921 et lui assure une reconnaissance sur le marché français. Le film suivant est d'une plus grande envergure et connaît une distribution internationale – notamment aux États-Unis –, c'est les Contes des mille et une nuits. Dans le genre alors en vogue de l'orientalisme, Tourjansky s'impose. La conception du décor (dû à Lochakoff) et des costumes (de lui-même), héritière de la tradition des Ballets russes, contraste avec les réalisations françaises contemporaines comme la Sultane de l'amour de Le Somptier. Là où ce dernier ne filmait que des fragments de décors, Tourjansky fonde sa mise en scène sur des constructions d'ensemble, centrées, symétriques qui donnent l'illusion d'un monde féerique. La magnificence décorative, la danse, la mise en scène paraissent à la critique de nature à concurrencer enfin Hollywood sur ce terrain. Le film suivant de Tourjansky est d'une tout autre facture, il s'agit d'un drame familial avec le sombre André Nox et, bien sûr, Nathalie Kovanko. Le Quinzième prélude de Chopin (1922) débute pourtant avec une curiosité, une séance de cinéma, dans le salon de la propriété, où l'on projette un Charlot… tourné pour l'occasion par Tourjansky! La même année, le cinéaste tourne La riposteavec Nathalie Lissenko cette fois et Jean Angelo. L'histoire est située dans un cirque et comporte son lot de scènes alternant prouesses physiques, comédie et drame. Calvaire d'amour attire à nouveau l'attention de la critique pour ses qualités « de mouvement et d'action », la capacité du « réalisateur russe » à conjuguer « drame d'action et drame de sentiment » propre à en remontrer aux Américains ! Le Chant de l'amour triomphant (1923), vaguement inspiré d'un poème de Tourguéniev, renoue avec l'exotisme le plus débridé. Situé d'abord à Ferrare au XVIe siècle, le film s'évade au gré des souvenirs de voyage d'un soupirant malheureux de la belle Valeria (jouée par Kovanko). Nous voici aux Indes mais tout autant dans un village nègre où le narrateur sauve de la mort un Hindou qui devient son fidèle serviteur. Celui-ci, à son tour, le ramènera à la vie après que Valeria, envoûtée par un collier magique, l'aura poignardé. Rêve, poursuite, serpents, statue magique, rien ne manque à cette fantaisie où Anatole Litvak fit ses premières armes comme assistant.

Ce Cochon de Morin en 1923-1924 opère une nouvelle volte-face en revenant à Maupassant. Ce film assure à Tourjansky à la fois la reconnaissance de « l'avant-garde » et du grand public. Germaine Dulac apprécie les prouesses de montage rythmique de la première partie où Morin, commerçant de province, s'adonne à la débauche dans un cabaret de Montmartre. Les vues nocturnes de la ville, l'enseigne du Moulin Rouge introduisent à une séquence endiablée où le champagne gicle, les jambes de femmes s'agitent, un pianiste, se déchaîne sur son clavier. La transition entre Paris et La Rochelle où Morin rentre grisé se fait par une alternance de banjo furieusement gratté et de roues de locomotive jusqu'à provoquer le passage à l'acte du rêveur qui se jette sur sa voisine de compartiment… et se fait arrêter. La suite du film est nettement plus calme, parfois même conventionnelle, rehaussée pourtant çà et là de trouvailles visuelles liées à des cauchemars ou des souvenirs. Grâce à Nicolas Rimsky, la critique voit par ailleurs dans ce film « un renouveau du film comique » et l'acteur oriente sa carrière du côté du vaudeville en devenant lui-même son metteur en scène. La Dame masquée (1924) est la dernière production Albatros de Tourjansky. Ce ciné-drame use de toutes les ressources du studio de Montreuil : Toporkoff et Mundwiller sont à l'image, Lochakoff et Gosch au décor, les acteurs sont Kovanko, Koline et Rimsky. Hélène, sensible jeune fille qui aspire à faire du théâtre, perd brutalement sa mère dans un incendie. Elle est recueillie, à Paris, par une tante qui ne l'aime pas et la force à épouser son fils noceur et joueur quand elle apprend qu'elle va hériter. Bal masqué, amours contrariées, viol dans un cabaret chinois, tout s'achève tragiquement par la mort d'Hélène atteinte par une balle perdue dans la bagarre finale. Sollicités par Ciné-France-Film (Westi Consortium), Tourjansky et Kovanko quittent Montreuil et – avec Koline, Lochakoff, Bilinsky, Toporkoff et Bloch – tournent Le prince charmant en 1924 (avec Charitonoff-Films), inaugurant une « série Kovanko-Films ». Ce départ massif est lié à la proposition de Gance de co-réaliser avec Tourjansky et Volkoff son Napoléon et au « débauchage » des Russes de Montreuil par Noe Bloch qui est passé d'Albatros à Ciné-France-Film. Le personnage principal du Prince, un héritier de la couronne du Bengale qui dissimule son identité lors d'une croisière mondaine sur un yacht, est interprété par Jaque Catelain ; Nathalie Kovanko est une princesse captive dans le harem d'un kalife que le prince voudra délivrer avec l'aide de Koline, comparse drôlatique. Cet orientalisme désenchanté, qui se réclame de Pierre Loti, croise, en mineur, celui du Lion des Mogols où l'on confronte le monde moderne à une féerie « résiduelle ».
Après la malheureuse expérience avec Gance qui le relègue, ainsi que Volkoff, au second plan puis le licencie en cours de route pour cause de faillite, Tourjansky tourne son film le plus important des années vingt, Michel Strogoff . Le projet de cette adaptation du fameux roman de Jules Verne, avait été engagé en 1924 par Léonce Perret. Une année plus tard c'est Tourjansky qui le tourne avec un certain brio. Mosjoukine (avec qui il n'a jamais tourné) y est le partenaire de Kovanko. Outre les vedettes, l'équipe technique et les acteurs secondaires sont majoritairement russes (à l'exception de Burel, co-opérateur avec Bourgassoff et Toporkoff qui faisaient déjà équipe à Ermoliev-Moscou-Yalta…) ce qui légitime la fiction de Verne. C'est une grosse production (le réalisateur parle de « crédits illimités ») dont le tournage en Lettonie – afin de s'approcher des lieux qu'évoque le roman – est couvert par la presse. Le film est vendu à l'avance aux États-Unis. Le début du film est brillamment monté en plans courts et parfois insolites (très gros plan d'oreille, plongée verticale sur des danseuses), développant sans tarder le parallèle entre la révolte des Tartares mettant à sac les villages sibériens et une soirée théâtrale dans la capitale, l'alerte donnée au tsar. La suite n'est pas toujours à la hauteur, alternant des scènes plus convenues, voire maladroites (lutte avec l'ours) avec des morceaux d'anthologie comme la fête chez l'émir Féofar et l'aveuglement du héros, que le coloriage du film exhausse encore, ou la bagarre finale entre Ogareff (Chakatouny) et Strogoff (Mosjoukine) d'une rare violence. Après cette réussite, Tourjansky – comme Mosjoukine – est appelé à Hollywood. L'expérience cependant tourne court après The Adventurer (ou The Gallant Gringo) pour la MGM (1927), film de cow-boy qui est une mise à l'épreuve, et un commencement de travail sur The Tempest (avec John Barrymore) qu'il quitte quand on veut lui imposer des changements aux deux tiers du tournage. En 1969 il prétendra avoir collaboré à The Volga Boatman de DeMille, mais l'information demeure sujette à caution. À son retour en Europe en 1928, il tourne deux films en Allemagne (Wolga, Wolga et Manolescu) puis un Aiglon en France (1931). Sa carrière prolifique se poursuit jusqu'en 1962 surtout en Allemagne ; en 1961, il tourne en Yougoslavie le Triomphe de Michel Strogoff avec Curt Jurgens et Valéri Inkijinoff.

Référence électronique « T », 1895, n°33, Dictionnaire du cinéma français des années vingt, 2001, En ligne, mis en ligne le 28 novembre 2007. URL : http://1895.revues.org/document103.html. Consulté le 14 novembre 2008. La Filmographie suivante est complète (élaborée depuis les sites d'imdb et de la cinémathèque)

Forum

Créer un nouveau fil de discussion

Galerie de photos


Liens

imdb.com La fiche IMDb de Viktor Tourjansky

Références

Forum Quelle drôle de gosse ! : Pantalonnade sans esprit
Forum Volga en flammes : Du souffle et de la Russie
Cette page a été visitée 14842 fois.

Installez Firefox
Accueil - Version bas débit

Page générée en 0.044 s. - 18 requêtes effectuées

Si vous souhaitez compléter ou corriger cette page, vous pouvez nous contacter