Peut-être le meilleur opus de la série Zatoichi (26 films tournés entre 1962 et 1989), avec un
Kenji Misumi au sommet de son art de réalisateur, et l'emploi des acteurs vedettes de la Daiei. Multiples personnages aux psychologies parfaitement décrites, plans superbes organisant la circulation des personnages et le déroulement de l'intrigue. Rythme lent, qu'il faut accepter, mais l'ensemble passe le temps, et s'embellit peut-être au fil des ans.