A éditer, pour Coburn et Valerii même si on est loin de Mon nom est Personne. La photo est tristounette, l'action languissante est vraiment calquée sur Douze salopards (la motivation vengeresse du héros en plus), et le cast hétéroclite ne rend pas tout cela des plus crédibles. De plus, le dialogue est lourdement pompé sur celui de Giu la testa ("Dieu t'a mis sur ma route", répète Spencer à Coburn, qui subissait la même rengaine de Steiger dans le film de Leone). Mais bon… C'est toute une époque, et dans le style "spaghetti", c'est plutôt le haut du panier.
C'est un "spaghetti" plutôt réussi dans la lignée des "12 salopards" (la bande de taulards enrôlée pour une mission-suicide), par le réalisateur de "Mon nom est Personne". On y croise des "trognes" françaises comme Georges Géret ou Guy Mairesse (le metteur en scène gay de "L'important c'est d'aimer"). Et puis, un film avec James Coburn ne peut pas être complètement mauvais !
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