Tous les soirs, le cérémonial recommence. Paul Haslans s’habille et s’apprête donc à sortir pour une autre partie, une nouvelle partie. Dans l’arrière salle d’un bar de Pigalle il observe un à un les joueurs assis autour de la table. Pourtant ce soir là, un visage sans ambiguïté, ouvert, franc ; bref pas à sa place. Ce visage c’est Fabrice, la trentaine sportive, un sourire en bandoulière qui ne cache que trés peu de choses et qui trahit trop ses émotion
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