L'idée si elle n'est pas neuve ("Strange days", "Total recall"), est propice à différents développements. Celui de "Final cut" est intéressant, même si le film lui-même est un peu pauvret (pas de seconds rôles, ton général trop neutre et déshumanisé). Décidément en progrès, Robin Williams est pour beaucoup dans l'intérêt qu'on porte au film et sa retenue jamais prise en défaut sert parfaitement le propos. Un concept aussi riche méritait peut-être un film plus long, moins anecdotique et étriqué, toujours est-il qu'on reste nettement sur sa faim, tout en reconnaissant que c'est bien fichu, maîtrisé et truffé d'amorces d'idées formidables. Mira Sorvino ne fait que passer et Jim "J.C." Caviezel joue les menaces intermittentes.
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