Forum - Fear Island, l'île meurtrière - L' île de la tentation..
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Forum : Fear Island, l'île meurtrière

Sujet : L' île de la tentation..


De Tamatoa, le 31 mai 2013 à 01:35
Note du film : 1/6

Cinq étudiants se retrouvent sur une île pour fêter les vacances de printemps. Tout va pour le mieux jusqu’à ce que le maître des lieux soit retrouvé assassiné et que le seul bateau de l’île disparaisse. Commence alors une chasse à l’homme aux allures de vengeance…

L'intrigue (!) la plus ridicule, la plus improbable de toute l'histoire du cinéma ! Les dialogues les plus débiles !

"- Le tueur en a tué deux d'entre nous ! Il veut sûrement nous faire passer un message !-"

"- Mon Dieu ! le corps de Régina n'est plus là ! Pourtant il était là il y a encore cinq minutes !"
"- Mais alors, il a disparu ?-"

"- Mon Dieu, du sang !-"
"-Mais oui, c'est rouge !-"

"- Mais alors, tu l'as violé ?-"
"- Mais non ! Mais elle était bourrée, alors… "-

Une horreur ! Un vide sidéral ! La quintessence du rien !


Par contre… pare contre….La plus belle collection de roploplos qui soit ! Des roploplos partout, partout ! Je suis resté jusqu'à la fin uniquement pour les roploplos de ces dames ! Une merveille ! Fear Island, l'île des roploplos. J'ai même pensé qu'on allait encore en voir au générique ! Résultat : Je ne me suis jamais senti aussi vieux ! Quel cafard !…

1/6 juste pour les roploplos…partout, partout…

PS = Ils peuvent toujours me refiler des cachets pour dormir !


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De Arca1943, le 31 mai 2013 à 03:53

Pour une fois que le Canada exporte un film, faut que ça soit celui-là ! Damm it / sacrament ! Et avec ce film, tout le monde va savoir que nos ados sont encore plus c… que ceux de nos voisins du Sud, ce qui n'est pas peu dire.

Quant à nos scénaristes-dialoguistes, s'ils sont bons, ils n'ont qu'un autobus à prendre pour se retrouver aux USA. Notre cinéma anglophone peine à exister d'abord pour des raisons linguistiques évidentes. Les anglophones sont plus nombreux au Canada que les francophones, seulement par rapport aux USA ils sont comme des Belges francophones vis-à-vis de la France. Exemple: Le scénariste belge Charles Spaak – frère du premier ministre Belge, ça ne s'invente pas – c'est en France qu'il travaillait presque toujours, c'est là qu'il y avait de quoi faire vivre un scénariste professionnel. Si nos meilleurs scénaristes sont à Hollywood ou à New York, c'est l'équipe B qui reste derrière… ? Ah, c'est déprimant.


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