A Man Called Horse est aussi la seule et unique occasion de voir au cinéma (dans le rôle de Baptiste, qui sert de mentor à Horse lors de son arrivée au camp des Lakota) un immense comédien de chez moi, monsieur Jean Gascon (1921-1988), figure de légende qui fonda Le Théâtre du Nouveau monde (1951) et L'École nationale de théâtre (1961). Parfaitement bilingue, il jouait et dirigeait dans les deux langues.
Cela dit, c'est vrai que ce film a un peu vieilli, mais beaucoup moins que l'autre film célèbre de Silverstein, Cat Ballou, dont j'ai tâté récemment et qui m'a fait une impression pénible, malgré Lee Marvin…
Arca1943