Zéro et un…ça ne devrait pas aller très loin… En 1965 c'est le début de l'informatique… Le système binaire… Avec les tores magnétiques on ne peut enregistrer que deux valeurs: Zéro ou Un… On ne va pas pouvoir faire beaucoup de calculs avec ça… Être amoureux de deux femmes à la fois, à la fin, quelquefois, ça va loin !!! Maria est très belle, mais question intelligence Zéro !!! Maria est très intelligente, mais question beauté…Pas terrible… J'en multiplie une, j'en multiplie deux… Ah comme c'est fâcheux, mes rêves importunes….
Ah les p'tites femmes , les p'tites femmes de Paris… Elles sont toutes belles et intelligentes !!!
Revu quelques séquences tout à l'heure sur une chaîne de la TNT… Ni déplaisant, ni intéressant… le charme extrême de Jeanne Moreau, la vitalité animale de Brigitte Bardot ; quand les deux filles sont sur scène, c'est délicieux, mais quand Malle joue à la Révolution, c'est enquiquinant…
Tout ce monde a bien dû s'amuser au Mexique (ou en Espagne), mais par rapport à Ascenseur pour l'échafaud, Lacombe Lucien ou Au revoir les enfants, c'est vraiment peu, très peu de choses…
« …par rapport à Ascenseur pour l'échafaud, Lacombe Lucien ou Au revoir les enfants, c'est vraiment peu, très peu de choses… »
Bien sûr, bien sûr ! Mais pour le plaisir de vous contredire, Impétueux, je dirai qu'à mon avis, un metteur en scène très "sérieux" comme monsieur Malle faisait bien de s'encanailler – une fois n'est pas coutume – dans un pur divertissement, un film "de vedettes". C'est pas Alain Resnais qui aurait fait ça, hein ! J'ignore d'ailleurs si le film a marché, mais ça ne peut pas nuire, lorsqu'on caresse des projets ambitieux comme Le Voleur ou Le Souffle au coeur, de se montrer au moins de temps en temps sous un jour bankable. Je n'ai pas sous la main, hélas, l'occasion de vérifier si cette pochade est encore amusante aujourd'hui. Mais dans mon souvenir – et puisque il vaut mieux comparer ce qui est comparable – c'était meilleur que Les Pétroleuses ! N'est-ce pas déjà quelque chose ?
Mais vous n'avez pas du tout tort, Arca, et votre contradiction n'est pas bien aigüe !
Viva Maria n'est pas du tout un film désagréable, encore moins déshonorant ; la distribution Bardot/Moreau lui assura un immense succès, encore renforcé par l'agrément de l'histoire, les paysages mexicains et ainsi de suite.
Je faisais seulement remarquer que dans la filmographie de Louis Malle, il y a des choses beaucoup plus fortes (et même essentielles, à mon sens).
Lorsque certains réalisateurs sérieux décidèrent parfois de s'offrir une cour de recréation, ce ne fut pas toujours des réussites.
Costa-Gavras réalisa un vrai nanar avec Johnny Hallyday (Conseil de famille) et plus récemment Corneau fut très décevant avec Le Prince du Pacifique.
Page générée en 0.0024 s. - 5 requêtes effectuées
Si vous souhaitez compléter ou corriger cette page, vous pouvez nous contacter