Le ton est au burlesque, l'esclave jouant également le rôle d'un boufon digne du moyen-age, musicien et acrobate danseur. Polanski joue de nouveau la carte de l'absurde, un peu comme dans ses précédents courts, mais garde toujours en tête une vision et une thématique noire et cruelle.
L'esclave ne cesse de vouloir s'évader, de vouloir partir vers Paris et la liberté. Le maître fait des efforts, essaye de le raisonner, lui offre un compagnon – une chèvre – l'attache, mais la révolte est toujours là…
Finalement il le libère. Et voilà que l'esclave revient. Il a seulement remplacer son tambour par une batterie. Et le voilà heureux.
Qu'il est dur d'être libre nous enseigne Polanski.
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