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Sujet : Réedition en DVD


De bdvore, le 18 octobre 2005 à 20:12

Allez!! sortez ce film en DVD s'il vous plait.


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De Caper, le 23 décembre 2005 à 12:37

Puis-je dire combien j'aimerais que toute la filmographie de ce cher Errol Flynn soit enfin disponible en DVD. J'ai vainement essayé de trouver certaines des œuvres dans lesquelles il a joué. Dieu que c'est maigre !

Merci en tout cas pour le site. Il y a là de quoi rêver. Bien à vous


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De dreeb, le 25 août 2006 à 16:45

Toujours partant pour une version dvd d'un film de Monsieur Flynn.


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De DelaNuit, le 30 septembre 2011 à 12:39
Note du film : 4/6

Enfin sorti en dvd, chez Universal. Soyons honnêtes, l'imagerie est très kitsch, les personnages caricaturaux, l'intrigue cousue de fil blanc, mais… il n'est pas interdit d'y prendre plaisir, et je l'avoue sans honte !

Errol Flynn est encore alerte et bondissant, Anthony Quinn joue les mauvais bougres avec naturel, Mildred Natwick est parfaite en vieille fille revêche, mais surtout…. surtout il y Maureen O'Hara, ici surnommée "la Rafale", en corsage échancré et cuissardes, chevelure rousse au vent, maniant aussi bien l'épée et le mousquet que les répliques cinglantes. Quel bonheur de la contempler, d'un bout à l'autre du film, magnifiée par le Technicolor ! ! !

Rien que pour elle, le film vaut le détour. Et pourquoi pas ? N'est-ce pas le personnage de Jack Sparow créé par Johnny Depp qui donne de l'intérêt aux Pirates des Caraïbes ? Au moins, avec A l'abordage, on ne perd pas son temps dans des batailles et poursuites interminables relevant davantage du jeux vidéo que du septième art. En moins d'une heure trente, l'aventure est bouclée. Aussi, je m'amuse devant A l'abordage alors que je finis par m'ennuyer ferme devant les scènes d'action interminables de Pirates des Caraïbes… Une question de génération peut-être ?


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De verdun, le 2 septembre 2020 à 22:11
Note du film : 4/6

Au début du XVIIIe siècle, les pirates de Madagascar, commandés par Roc Brasiliano (Anthony Quinn), menacent le commerce des Indes. La marine anglaise charge un de ses plus brillants officiers, Brian Hawke (Errol Flynn), d'infiltrer le repaire de ces criminels des mers. Mais lorsqu'il tombe amoureux d'une ravissante femme pirate (Maureen O'Hara), les choses se compliquent…

A l'abordage est sans doute le plus populaire des films de pirates produits par Universal dans les années 1950. Il a eu le privilège de sortir en DVD et en Blu-ray en France et, quelques années auparavant, d'être diffusé dans la mythique Dernière séance de Monsieur Eddy.

Pour un peu l'ouverture de A l'abordage annoncerait un film aussi beau et ambitieux que Capitaine Blood et de L'aigle des mers: la caméra remonte la coque d'un bateau et nous montre qu'un homme est en train de se faire fouetter sur le pont de ce navire: c'est Errol Flynn ! Mais ce n'était qu'un stratagème. Et le film lui, s'avère n'être qu'un divertissement agréable mais pourvu de suffisamment de qualités pour susciter l'intérêt des cinéphiles nostalgiques.

Comme l'explique fort bien Delanuit dans le message précédent, rien que pour son casting parfait A l'abordage vaut le coup d'oeil. Bien qu'il ait pris cher depuis le début des années 1940, Errol Flynn est toujours aussi charismatique et bon comédien. Anthony Quinn est irrésistible dans ce rôle de méchant pittoresque et, comme en témoignaient déjà Le cygne noir et surtout Pavillon noir, la rousse Maureen O'Hara, à la fois redoutable et séduisante, est toujours parfaitement à l'aise dans ce type de films.

Certes il est permis de regretter que l'argument du film, l'infiltration du personnage principal chez des pirates, soit quelque peu délaissé en cours de route au profit d'une intrigue privilégiant les relations de Hawke-Errol Flynn avec le beau sexe… Mais l'ensemble est concis (80 minutes), vif -à l'image de la partition de Hans J. Salter- et bourré d'humour: on s'amuse de voir Flynn, naguère interprète de Don Juan, devenir ici la proie continuelle de ces dames !

Visuellement, le spectacle est des plus réussis grâce au technicolor flamboyant de Russell Metty, à la beauté des décors et à des scènes d'action bien faites. D'ailleurs, si les scènes maritimes sont réalisées avec les techniques hollywoodiennes "anciennes" alors en vigueur, c'est-à-dire des maquettes pour représenter l'ensemble d'un navire et les détails du bateau (pont, cabine) filmés en studio, l'ensemble est mis en scène avec une efficacité certaine.

Au final, A l'abordage ne saurait être comparé aux chefs-d'oeuvre de Curtiz. Et pourtant il est difficile de ne pas prendre un certain plaisir devant ce divertissement réjouissant.


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