Un récit qui parle avec finesse des relations frères-soeurs, parents-enfants, dans la grande tradition du cinéma asiatique (Ozu,…). C'est l'histoire d'une jeune fille qui apprend le chant local, le pansori, et qui a des problèmes avec des garçons. Mieux qu'Hélène.

Les cahiers du cinéma en collaboration avec la Cinémathèque française a édité une revue intéressante appelée "cinquante ans du cinéma coréen" (il y a trois ans) à l'occasion d'une rétrospective consacrée au cinéma coréen à la Cinémathèque. J'en avais vu quelques uns, alors, au Palais de Chaillot. Le grand metteur en scène contemporain de ce cinéma est sans conteste Im Kwon-Taek. Mais il a fait des émules et comme le rappelle l'introduction de la brochure : "le cinéma coréen est aujourd'hui l'un des plus dynamiques du monde".

Une fiche de une page est consacrée dans cette brochure de 80 pages aux principaux films coréens de ces cinquantes dernières années. Toutefois, cette belle brochure est hors commerce. Peut-être que le centre culturel coréen qui participait à l'opération en a conservé quelques exemplaires.

Sinon, Katana, tu peux t'intéresser aux films suivants : The host, film citadin et Printemps, été, automne, hiver… et printemps, rural. Ils ont tous les deux bien "marchés", et sont disponibles à prix modéré.