Moi aussi je voudrais bien qu'on édite en DVD le film "Prélude à la Gloire". Souvenie, souvenir…

Un concert en Avignon dans les années 50 avec Roberto -14 ou 15 ans – à la tête de l'orchestre philarmonique d'Avignon, le premier violon un monsieur d'un âge certain à qui Roberto, en chef, est venu donner une sympathique poignée de main. Emotion !

Roberto est venu diriger il y a quelques années au fastival de Carpentras.

Pourquoi sa carrière n'a pas suivi son talent précoce ? Mystère.

Cordialement à tous ceux qui se souviennent.

Vaduxe

J'ai vu, moi aussi, ce film – et aussi Prélude à la gloire lorsque j'avais six ou sept ans, à la sortie de cette sorte de bizarrerie documentaire…. Franchement, êtes-vous sûr que ça a supporté les années ? Je crains que, si nous les revoyons, nous ne soyons accablés par la niaiserie de l'intrigue et la mauvaise qualité de l'interprétation…

Combien de vocations le Maître Roberto BENZI a-t-il encouragées ?

je voudrais une réédition de l'APPEL DU DESTIN et de PRELUDE A LA GLOIRE.

Dans ma jeunesse j'ai du voir ces deux films au moins 10 fois.

michele49@wanadoo.fr

Souvenir de jeunesse ce film m'avait fait rêver. J'adorais la musique classique et c'était un plaisir de voir Roberto Benzi ainsi que Jean Marais.

Aujourd'hui à la retraite je me souviens de ce film que j'avais vu alors que j'avais 10 ans et qui m'avait beaucoup impressionné. Je pense qu'aujourd'hui les jeunes pourraient réfléchir sur ce qu'est le talent … musical en particulier … de plus à Bordeaux nous avons profité de Roberto Benzi avec beaucoup de bonheur. Nous aimerions en parler aux plus jeunes !

Effectivement nos parents montraient en exemple Roberto BENZI, nous qui avions une dizaine d'années à l'époque… Il est vrai que son instinct musical précoce s'est confirmé par la suite… J'avoue que le "personnage" m'intrigue, car c'est un artiste qui s'est montré discret du point de vue médiatique lorsqu'il est devenu adulte !… Certes ce n'est pas le lieu de ce genre de discussion, mais si vous le souhaitez, nous pourrions en parler dans d'autres instances… A Bordeaux il a marqué de son empreinte l'orchestre Bordeaux-Aquitaine, qui a été son enfant… Je ne pense pas qu'il ait fait l'unanimité autour de lui ailleurs… et son parcours est à mon goût trop éclectique pour laisser une trace pérenne dans ses lieux de passage, sauf peut-être à Bordeaux…

En flanant sur le cher DVDTOILE, je trouve un certain nombre de reflexions marquées au coin de la nostalgie, en rapport avec "L'Appel du Destin", de Georges Lacombe (1952).

J'y ajoute la mienne, et voue une reconnaisance profonde à ce film et à son réalisateur qui m'ont fait découvrir la musique classique dont j'ignorais a peu près tout, sauf que ce ne pouvait être qu'une source infinie d'ennui et de vertus soporifiques. Mais voir Roberto Benzi à son pupitre diriger avec autorité un ensemble symphonique, des oeuvres classiques pour moi inconnues, a été un choc et une révélation. Bien sûr, les années aidant, les critiques apparaissent quant aux pièces musicales présentées – partiellement – dans le film, quelques fois "bateau", et en y repensant la mémoire me renvoie un film d'intérêt mineur, aux dialogues empesés de propos solennels, écrit par Jacques Viot, et dont la direction d'acteurs était maladroite.

Roberto Benzi y était spectaculaire à la tête de son orchestre, mais laborieux en tant que comédien – normal, il ne l'était pas. En revanche, il me semble me souvenir de la prestation plus qu'honorable de Jean Marais, inattendu dans un rôle de père-musicien déchu, alcoolique, et qui survit péniblement dans un appartement étroit en donnant des leçons de solfège. Il me semble me souvenir qu'il s'en sortait plustôt bien, alors que de toute évidence, ce rôle présentait des risques, si l'on veut considérer l'image qu'il avait auprès du public, avec Cocteau (Orphée, La Belle et la Bête) notamment. Dans "l'Appel du Destin", parmi ses élèves, on pouvait voir Jackie Sardou, épouse du truculent Fernand Sardou, qui apparaissait également dans le film, l'un et l'autre, comme chacun sait, parents du célèbrissime Michel.

L'union finale du père et du fils, l'un au piano, le plus jeune au pupître, en une ultime rédemption, pour le Concerto en mi bémol, "L'Empereur", de Beethoven, était très émouvante, même si l'on débouchait, il faut l'admettre, sur une dégoulinade un peu mélo. Une large partie des maladresses de ce film provenait aussi d'une cooproduction franco-italienne, dans laquelle des comédiens français – Edouard Delmont, savoureux Provencal, et Jacqueline Porel, complètement à contre-emploi – semblaient un peu flotter, ovnis égarés dans un sujet qui se passait pour une large partie en Italie.

Il n'empêche que je dois trop à ce film, même si mes goûts musicaux ont évolué vers des compositeurs très différents de ceux qui fleurissent dans le film de George Lacombe, limités pour la plupart à la période romantique. Du coup, je me verrais bien avec un DVD. Il semble que l'on puisse y pourvoir grace à l'un de vos correspondants.

Allez ! J'y vais…

bonjour beco je suis intéressé par la copie du film l'appel du destin, que j'ai cherché partout.

Je possède déjà " prélude à la gloire" et j'aimerai beaucoup AVOIR LE 2ÈME FILM DE ROBERTO BENZI.

MERCI DE ME DIRE COMMENT FAIRE POUR RECEVOIR CETTE COPIE.

BIEN AMICALEMENT

JJV78 MON MAIL villaine78@orange.fr

Bonjour, moi aussi, j'ai gardé un souvenir inoubliable du film "PRELUDE à la GLOIRE", J'avais l'age de ROBERTO BENZI au moment du tournage? J'ai réussi un capture de vidéo sur YOUTUB; le film est en français, sous-titré en russe; mais la musique est là: et la gestuelle du grand chef d'orchestre ; un grand moment d'émotion .