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Forum : La Solitude du coureur de fond

Sujet : Avis


De Prof, le 1er février 2005 à 21:05

Je n'ai pas vu le film, mais j'ai lu cette nouvelle! Mes élèves l'apprécieront sûrement!

Je vous en reparle!


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De alain paillard, le 15 février 2007 à 21:17
Note du film : 6/6

Dommage et vraiment incroyable que ce film qui a marqué une époque ne puisse être vu dans une version sous titrée en français. Messieurs les producteurs qu'attendez vous pour faire votre métier!!!!


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De verdun, le 12 octobre 2010 à 22:33
Note du film : 6/6

La solitude du coureur de fond est sorti en dvd français depuis les messages précédents. Et j'ai pu ainsi visionner un film remarquable malgré ses presque 50 ans d'âge.

L'interprétation est géniale.Celle de Tom Courtenay,qui incarne avec brio Colin Smith, détenu doué pour la course de fond. Même si on l'a revu dans le docteur Jivago ou Pour l'exemple, il ne me semble pas que ce comédien ait eu une carrière cinématographique à la hauteur de son talent. Celle aussi du grand Michael Redgrave dans le rôle du directeur du pénitentier.

Le scénario est vraiment intéressant. On n'oubliera pas les flash-backs qui retrace l'histoire d'amour du personnage,son amitié avec un jeune homme peu recommandable qui le fera plonger dans la délinquance et surtout ses relations tumultueuses avec son père et sa mère. On oubliera encore moins la scène finale, d'une force irrésistible.

Cette nouvelle vague anglaise qui fustige les institutions mais n'hésite pas à faire appel à un "acteur du passé" en la personne de M. Redgrave, se révèle pleinement convaincante. La caméra est légère, la photographie en noir et blanc magnifique.

Un grand film à redécouvrir de toute urgence !


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De vincentp, le 22 janvier 2012 à 22:51
Note du film : 5/6

4,8/6. Qualité de la photographie noir et blanc (paysages industriels, sous-bois) et de la musique. Un scénario plutôt conventionnel, mais la mise en scène est très imaginative, et il y a une puissance évocatrice derrière de nombreuses images (le concert, par exemple). On est surpris par la sécheresse du ton : le descriptif des relations sociales est glaçant, comme la campagne en hiver qui entoure le centre de redressement. C'est un classique du cinéma anglais, du "free cinema", à connaître. On remarque de très nombreuses similitudes de fond et de forme avec le prix d'un homme, sorti en salles pratiquement au même moment (septembre 1962 pour l'un, janvier 1963 pour l'autre).


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