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Sujet : Rôle comique dans La Peau Douce


De scoubidou, le 5 décembre 2004 à 12:25

Juste pour information, le rôle de trublion sympathique qu'incarne Daniel Ceccaldi, est un des seuls rôles comiques du film La Peau Douce. Il intervient à quelques moments pivots du film.


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De kidloco, le 14 août 2006 à 08:45
Note du film : 5/6

Tiré d'un fait divers, c'est un des meilleurs Truffaut pour moi !


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De Impétueux, le 14 août 2006 à 12:42
Note du film : 5/6

Vous n'avez pas tort, et pas seulement (loin de là !) parce que c'est – ou ce serait – tiré d'un fait divers. C'est sans doute le meilleur rôle à l'écran de Jean Desailly, grand acteur de théâtre trop souvent mal employé (mais magnifique en mari impuissant dans Maigret tend un piège de Jean Delannoy et en vieille pédale exploitée dans Un flic de Melville).

C'est surtout une des trop rares occasions de revoir la sublime Françoise Dorléac ; encore trois ans, huit films (dont l'excellent Cul-de-sac de Polanski et, naturellement les Demoiselles enchantées), et ce sera la fin de son trop bref voyage…


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De RdT, le 15 août 2006 à 11:22
Note du film : 6/6

Je renchéris, Peau douce est non seulement le plus beau rôle de Jean Desailly mais aussi le plus beau de Françoise Dorléac qui fait preuve ici d'un talent hors pair. Je ne sais pas si c'est le meilleur Truffaut. C'est possible. Ce qui est certain c'est qu'on est en face d'une splendide tragédie. La nouvelle vague rejoint ici une intériorité de Racine. Grâce à l'humanité de ses acteurs Peau douce rend plus sensible et plus intelligent. Peu d'acteurs ont pu comme Jean Desailly exprimer les errements du désir. Peu d'actrices ont pu comme Françoise Dorléac traduire la détresse de l'abandon. Un film à voir à revoir, génial du début à la fin.


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De Xaintrailles, le 28 août 2007 à 17:50
Note du film : 6/6

Il me semble que les seuls défauts de ce film admirable (sans doute le chef d'oeuvre de Truffaut avec les 400 coups)sont, premièrement : son titre légèrement ridicule, et deuxièmement : le meurtre final qui n'est pas très crédible. Il serait beaucoup plus vraisemblable que le mari volage retourne au foyer conjugal après cette "parenthèse"! Quant au personnage incarné à la perfection par Daniel Ceccaldi, il n'est pas spécialement sympathique, c'est plutôt la parfaite incarnation de ce que Molière appelait un "fâcheux" et qu'on nomme aujourdh'hui un casse-pied.


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De PM Jarriq, le 12 juin 2008 à 12:52

Mort de Jean Desailly, à l'âge de 87 ans.

Un acteur de théâtre, qui n'a pas laissé une trace indélébile à l'écran, hormis peut-être son rôle d'adultère dans La peau douce de Truffaut, et des seconds rôles chez Melville.


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De Impétueux, le 12 juin 2008 à 13:02
Note du film : 5/6

Jean Desailly souffrait d'avoir un physique assez mièvre, des traits réguliers, mais un peu empâtés, sans vivacité ou esprit de décision, ce qui empêchait de lui donner des rôles autres que craintifs et/ou veules, assez souvent.

En sus de ce qu'évoque PM Jarriq, je garde aussi en souvenir – parce que le rôle, précisément, correspondait au physique – François Schoudler, fils de Noël (Jean Gabin) dans les excellentes Grandes familles de La Patellière


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De Ralph, le 12 juin 2008 à 15:48

Dans La peau douce, on appréciait le talent de Jean Desailly mais surtout on remarquait le charme et le talent de Françoise Dorléac, soeur de Catherine Deneuve, disparue tragiquement dans un accident de voiture. Qu'une carrière si bien commencée ait été si vite terminée est une terrible perte pour le cinéma français.


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De Goupil, le 12 juin 2008 à 16:00

Je ne savais même pas qu'elles étaient soeurs !Pourtant, elles n'avaient rien en commun.


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De Arca1943, le 12 juin 2008 à 16:02

« Pourtant, elles n'avaient rien en commun. » Mais si, il suffit de les voir ensemble dans Les Demoiselles de Rochefort.


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De Goupil, le 12 juin 2008 à 16:03

Oui, mais je veux dire que la brune et la blonde n'avaient pas de ressemblance physique. Et je pense que même si elle avait vécu, Françoise Dorléac n'aurait pas eu la carrière de Catherine Deneuve. Elle n'avait pas autant de talent qu'elle. Je suis sûr qu'elle aurait même arrêté sa carrière avant d'être mise dans l'ombre par sa soeur.


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De Lagardère, le 12 juin 2008 à 16:05

Oui, cher Goupil , Arca1943 m'a soufflé ce que je voulais vous répondre !

Mais il est vrai que Francoise Dorléac avait un coté un peu plus mutin que sa soeur catherine Deneuve. Et le destin ne nous aura pas laissé le loisir de voir son joli minois rester toujours plus "jeune" que celui un peu plus austère (mais qui n'altère en rien sa beauté) de la grande Catherine..


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De Ralph, le 12 juin 2008 à 16:08

Alors mon cher, je ne suis pas de votre avis !Françoise avait un charme et une délicatesse que Catherine n'a jamais été capable, même au temps de sa jeunesse, d'avoir !Elle a réussi, d'accord, mais sa soeur aurait bien été aussi loin qu'elle. De toutes façons, ayant joué ensemble, je ne crois pas qu'elles auraient été jusqu'à s'empêcher de réussir mutuellement. Quoique je trouve que la restante, si je peux l'appeler ainsi, est assez ambitieuse.


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De Arca1943, le 12 juin 2008 à 16:08

Tout ceci me semble bien hypothétique. Du reste Catherine Deneuve est plus reconnue pour sa beauté que pour son talent de comédienne.


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De Impétueux, le 12 juin 2008 à 18:22
Note du film : 5/6

Catherine Deneuve ne manque pas de qualités, mais la vraie, la grande comédienne de la famille, c'était Françoise Dorléac ! Torrent de vitalité et de bon goût, drôle, mutine, séductrice, primesautière, à la voix inoubliable et aux yeux malins, elle a marqué pour toujours les mémoires alors qu'elle n'a eu qu'une courte vie de vingt-cinq printemps…

Qu'en quatre ans elle ait pu incarner avec tant de force Agnès Villermosa de L'homme de Rio, Nicole, frémissante hôtesse de l'air de La peau douce, Téresa de Cul-de-sac et Solange des Demoiselles de Rochefort dit assez combien sa mort a été une perte catastrophique pour le cinéma…


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De silverfox, le 12 juin 2008 à 18:38

Et si je ne me trompe, Françoise Dorléac repose dans le petit cimetierre de Barbizon, cité bennie des artistes.


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De Ralph, le 12 juin 2008 à 18:54

Je suis en accord parfait avec Impétueux, qui dit que Françoise Dorléac avait un petit plus que Catherine Deneuve. A la comparaison, on sent que tout le charme de la première était déjà dans sa grâce mutine, bien entendu, mais aussi dans son jeu tout en nuances. Chez la seconde, on a plus l'impression qu'elle s'est forgée un univers de star et je trouve même qu'elle pourrait se"retirer" car une actrice a obligatoirement le poids de l'âge et sans être discourtois je dirais que comme tout un chacun, elle a perdu de sa superbe. Françoise, je l'ai trouvée mémorable dans La peau douce où son rôle d'hôtesse de l'air lui allait comme un gant, mais aussi comme Impétueux le dit dans L'homme de Rio où elle donnait la réplique à notre Bebel national. Son rôle de folle ingénue lui allait très bien. Les demoiselles de Rochefort, j'ai moins apprécié n'étant pas comédies musicales, mais il faut reconnaître que ce film a marqué une génération.

Dire que cette jeune femme a disparu à l'âge de 25 ans alors que s'ouvraient à elles les portes de la gloire. Catherine a eu beaucoup plus de chance. J'en reviens à ce que j'ai dit, je pense que si les deux soeurs étaient encore réunies, elles auraient fait beaucoup de chemin chacune de leur côté. Il ne me reste qu'à découvrir le dernier film cité car je ne l'ai jamais vu.


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De kfigaro, le 4 novembre 2008 à 10:41
Note du film : Chef-d'Oeuvre

Un chef d'oeuvre absolu pour ma part mais étrangement personne n'a cité la musique de Georges Delerue qui joue pourtant un rôle immense dans ce film tragique et passionné. Par son ambiguïté permanente (on entend notamment une étrange montée polytonale pendant que Pierre dégrafe les bas de Nicole lors de leur escapade au milieu du film comme s'il regrettait déjà son geste, sans parler de la rencontre dans l'ascenseur sublimée par les notes subtiles et pudiques de Delerue qui suggèrent la montée du désir mais sans le moindre pathos ou "surlignage" musical)

2 titres extraits de la partition à écouter ici :

Georges Delerue – Pierre et Nicole

Georges Delerue – Course vers l'aéroport


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De verdun, le 16 janvier 2011 à 22:33
Note du film : 6/6

Bien que son sujet paraisse au premier abord banal et que sa renommée soit moins forte que celle des Quatre cents coups, de Jules et Jim, de La nuit américaine ou du Dernier métro, c'est peut-être le plus grand film de François Truffaut, celui qui se bonifie au fil des années et des visionnages.

Accompagné par la musique d'un Delerue au mieux de sa forme, c'est sans doute celui où Truffaut a le mieux assimilé les leçons de son maître Hitchcock. Le climat se fait de plus en plus tendu, la photo de Coutard sombre à souhait, le découpage des plus élaborés.

L'interprétation est magnifique avec une Françoise Dorléac solaire, de plus en plus fascinante à mesure que se déroule l'intrigue. Jean Desailly est parfait en grand bourgeois pris dans l'engrenage du mensonge et de la lâcheté. Il est dommage que cet acteur n'ait plus trouvé de rôle principal après ce film où il est pourtant remarquable. Quant à Daniel Ceccaldi, son personnage de casse-pied envahissant introduit une dose de comédie fort bienvenue dans ce sombre drame.

Dans ce drame très fort où l'on remarque des moments d'une grande délicatesse plane un sentiment de malaise croissant. On pense souvent à Hitchcock. Mais aussi aux meilleurs Chabrol avec cette satire d'une bourgeoisie qui court vers sa perte, une séquence de repas assez gratinée ou un ticket photo qui indique la culpabilité du mari, semblable au briquet qui trahit Jean Yanne dans Le boucher.

Et puis la fin…


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De Tamatoa, le 7 février 2012 à 00:07
Note du film : 6/6

Bien que lapidé à sa sortie, ce film est ce que Truffaut a fait de mieux ! Il survole toute sa filmographie, malgré des œuvres proches de la perfection comme Baisers volés ou les prometteurs et déjà sublimes 400 coups, le trop vertueux L'Homme qui aimait les femmes ou encore l'irréprochable dernier métro. Pour ne parler que du pur Prémium. La nouvelle vague, tant décriée par tant de cinéastes, a quand même bien fait de voir le jour. Une vague qui n'était peut-être pas de fraicheur pour beaucoup, qui voyaient en elle un cinéma "compliqué", par trop intellectualisé mais qui a si intelligemment renouvelé le 7e Art. Truffaut en était l'astre premier et son talent ne sait que très rarement démenti. On a beaucoup palabré sur la nécessité de ces nouvelles toiles qui avaient à nouveau recours au noir et blanc que d'aucuns croyaient définitivement enterré. Elles étaient plus que nécessaires mais ne diminuent nullement la qualité de leurs ainées, le cinéma dit "de papa", possesseur des plus immenses chefs-d'œuvre en la matière. Mais ce cinéma là, pour merveilleux qu'il était, entravait peut-être une "vérité sociale" crue que la nouvelle vague a voulu s'attribuer pour en faire son étendard.
Un autre regard, une autre approche de la vie, des êtres, de la vérité cachée, de l'inconscient le plus enfoui. Et puis peut-être des audaces interdites dans l'esprit de metteurs en scène depuis longtemps consacrés. Des audaces qu'une époque, très frileuse dans bien des domaines, mettait encore plus en lumière.

De plus, Truffaut était un géniteur cinématographique : il a fait "naitre" Fanny Ardant, Jean-Pierre Léaud, Nathalie Baye, Jeanne Moreau et Claude Jade.


Il aurait eu 80 ans aujourd'hui, 6 Février 2012 .


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De Impétueux, le 24 décembre 2012 à 14:08
Note du film : 5/6

Si l'on en croit Serge Toubiana, qui intervient en préambule sur le DVD, et ainsi que le dit Tamatoa, La peau douce a été, à sa sortie, un échec public et critique. On se demande bien pourquoi, tant cette histoire triste, simple et prenante, interprétée à la perfection par Françoise Dorléac et Jean Desailly avait tout pour séduire dès 1964. Qui en contesterait aujourd'hui l'extrême qualité ?

L'histoire a été écrite, paraît-il, en quelques semaines, rassemblant les fils ténus et disparates de bribes d'expériences vécues par Truffaut ou ses amis, d'une affaire criminelle qui avait défrayé la chronique, et de la pure fiction. On ne dirait pas que ce soit aussi composite tant il y a de souplesse et d'élégance, tant de véracité et de cohérence dans ce récit mauve et gris de deux fragilités qui se rencontrent par une suite de hasards rares, mais en rien invraisemblables et qui vont cahin-caha vers une fin douloureuse. Je regrette simplement un peu le côté emphatique, théâtral de l'assassinat terminal par la femme trompée (Nelly Benedetti), qui aurait pu être moins inutilement spectaculaire, voire ne pas intervenir, le gâchis des vies menées par les trois personnages principaux étant déjà suffisant.

Cette réserve justifie que je ne mette pas la note maximale à un film qui, sans cet artifice de construction, ne serait pas loin, à mes yeux, du chef-d'œuvre. La première demi-heure, la rencontre de Pierre et de Nicole, les balbutiements de leur histoire, sa singularité et son évidence est une parfaite réussite ; dans le cadre assez lisse de leurs vies arrivent l'anxiété devant le téléphone qu'on ne décroche pas, les énervements, les impatiences, les bouderies, les mensonges, les excuses douteuses… et aussi le côté minable des maisons de rendez-vous, si huppées qu'elles puissent être, la volonté des amants de ne pas se laisser gagner par la trivialité des amours clandestines, et moins encore par l'usure du temps.

Et tout autant l'épisode pénible, énervant, insupportable, de la conférence que donne Pierre à Reims, où, par vergogne, par crainte d'égratigner sa réputation, son statut social, il laisse Nicole désemparée errer dans la ville est également superbe. Parfaite illustration du mot de François Mauriac : Une ville de province, c'est un désert sans solitude. (L'atmosphère du dîner préalable à la conférence fait aussi songer au repas de notables subi par Michel Mortez (Jean Rochefort) dans Tandem ; il ne m'étonnerait pas plus que ça que Patrice Leconte soit allé trouver dans La peau douce son inspiration).

Même si les interventions de Nelly Benedetti (l'épouse trompée) et de Daniel Ceccaldi (le vieux camarade empoisonnant) sont plutôt réussies, le film tourne presque exclusivement autour de Françoise Dorléac et de Jean Desailly ; il n'est peut-être pas abusif d'écrire qu'ils ont trouvé dans La peau douce le rôle de leur vie, lui parce qu'il a largement privilégié le théâtre au cinéma, elle parce que son beau destin s'arrêtera sous une pluie battante de juin 67 dans une bretelle d'autoroute…

Le visage aux traits réguliers un peu empâtés, un peu mous, de Desailly convient parfaitement à ce Pierre Lachenay, intellectuel aisé et paisible qui connaît en quelques mois (ou quelques semaines) cette ivresse d'une passion folle, presque paralysante. Et elle, donc…! Dès que sa voix rauque résonne dans un microphone d'aéroport, dès qu'on la devine derrière un rideau échanger ses chaussures de vol contre des escarpins, on est sous le charme. Et ça ne cessera pas. Si Philippe de Broca avait fait éclater son côté solaire, mutin, séducteur, irrésistible dans L'Homme de Rio, François Truffaut lui permet de montrer sa pudeur, sa délicatesse, sa subtilité ; sa fragilité aussi.

Le cinéma français, 45 ans après, ne peut pas se consoler de sa mort…


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De vincentp, le 24 décembre 2012 à 23:32
Note du film : 6/6

C'est dans le domaine des passions sentimentales (L'histoire d'Adèle H, le dernier métro, La femme d'à côté, Baisers volés, La peau douce,…) que Truffaut a réalisé de toute évidence ses films les plus convaincants. Visiblement un être sensible qui a mis une part de lui-même dans ses histoires (portées par une sorte de spleen baudelairien). Sans connaître au départ parfaitement les techniques pour filmer, il a su aussi passer avec succès le cap difficile de statut de critique à celui de réalisateur.

Je ne lui tresserai toutefois pas des lauriers, car revers de la médaille, un côté un peu gauche, guindé, et agaçant traverse par moments son œuvre (voir le maladroit La mariée était en noir, le surfait Jules et Jim, ou l'inconsistant L'argent de poche).

Apprécions ses meilleures réussites, mais ne le plaçons pas non plus sur un piédestal. Il n'y a pas de quoi ne pas se consoler de sa mort, quarante cinq après ! De jeunes auteurs méritent sans doute que nous leur prêtions attention…


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De Impétueux, le 25 décembre 2012 à 00:11
Note du film : 5/6

Ce n'est pas de Truffaut que je parlais, qui n'est d'ailleurs pas mort il y a 45 ans, mais de Françoise Dorléac.

J'ai, comme vous, de la retenue sur beaucoup de Truffaut, notamment sur Jules et Jim, La Chambre verte, Le Dernier métro


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De vincentp, le 25 décembre 2012 à 09:00
Note du film : 6/6

Ah bon ! Voilà qui est plus compréhensible ! Effectivement une actrice, dont la carrière fut courte, mais qui a marqué les années soixante par sa présence, faite d'un mélange du pudeur et de sensibilité : Les demoiselles de Rochefort, Cul-de-sac, L'homme de Rio… Je n'ai pas vu ses autres films , et bien que n'étant pas né à l'époque imagine fort bien l'impact de sa mort tragique, sur le grand public.


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De verdun, le 25 décembre 2012 à 21:33
Note du film : 6/6

je pense que vous avez vu vincentp les trois films les plus importants de Françoise Dorléac.

Cependant, j'ai adoré revoir cette comédienne dans le troisième volet de la trilogie Harry Palmer: un cerveau d'un milliard de dollars. La manière avec laquelle elle donne vie à un personnage- insignifiant sur le papier- d'espionne russe est tout à fait louable.


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