Hélas, comme vous l'avez si bien dit, la télé dont Bluwal était l'une des pionniers est la télé d'avant la dictature de l'audimat et "le temps de cerveau humain disponible" vendu à Coca-cola.
Et la gauche que représentait un Bluwal (ou un Tavernier) soucieuse d'élever le public vers le haut, me manque cruellement.
Concernant la carrière (éphémère) de Bluwal au cinéma, je vous recommande Le monte-charge dont j'ai vanté les mérites il y a quelques mois. C'est un excellent polar à la française et peut-être la seule rencontre heureuse entre l'univers de Frédéric Dard et le septième art.
Concernant les oeuvres de Bluwal pour la télévision, j'aimerais bien voir Les ritals, adaptation du roman de Cavanna, entre autres inédits…