Et puisqu'on est dans la célébration du personnage, signalons les deux excellentes adaptation cinématographiques du gentleman-cambrioleur avec Robert Lamoureux, qui collait parfaitement bien à la gouaille et – en même temps ! – à sa classe : Les aventures d'Arsène Lupin de Jacques Becker en 1957, Signé Arsène Lupin d'Yves Robert en 1959.
En revanche Arsène Lupin contre Arsène Lupin d'Édouard Molinaro, en 1962, qui prétend mettre en scène les deux fils du héros, Jean-Claude Brialy et Jean-Pierre Cassel est bien médiocre.
Concernant les prédécesseurs de Descrières, vous avez raison, c'est l'interprétation de Robert Lamoureux qui fait référence.
A titre personnel, je pense que Jean-Claude Brialy a été un Arsène Lupin remarquable, non pas dans le Arsène Lupin contre Arsène Lupin que vous citez mais dans le Arsène Lupin joue et perd réalisé dix-huit ans plus tard pour la télévision. Je développerai prochainement mes arguments sur le fil consacré à ce téléfilm de Alexandre Astruc.
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