Le seul, dans cette pauvre aventure, à sortir son épingle du jeu, c'est le toujours irréprochable Claude Dauphin. Capable de se glisser dans n'importe quelle livrée, il tombe toujours au milieu d'une oeuvre pour en relever la saveur. Son phrasé, sa dégaine, ont sauvé bien de pâles allégories qui, sans lui, seraient oubliées aujourd'hui. Et il a été le maître absolu de beaucoup d'autres. Et la présence d'un des dégueulasses attitré du cinéma Français, Albert Medina, titille un peu cette pénible sieste cinématographique. Mais le tout est avachi, amorphe. C'est pourtant un bien joli noir et blanc qui nous est servi dans ce Dvd Gaumont. Michèle Morgan enlèvera cette robe d'avocate qui ne lui sied guère et partira retrouver Bourvil pour que Fortunat la fasse passer en zone libre. Sobre et crédible. Comme on l'aime …
Que voulez-vous !! Le couple le plus dénué de talent de tout le cinéma français de toutes les époques ne pouvait pas donner grand chose, même piloté par le bon Henri Decoin…
Vous êtes dur !! Pour Vidal, je dis pas …. Mais la môme Morgan a quand même fait quelques jolies choses… Mais je ne sais plus où j'ai lu , écrit de votre menotte :'- Croiser Morgan au détour d'un plan dans un coin du Paradis me semble confiner à l'Enfer…-". Je vais le rechercher…
Et je me souviens d'une intervieuw de la grande Sylvie, que j'avais vu sur Dailymotion, qui expliquait à Pierre Dumayet :Donc, je n'insisterai pas…Mais vous êtes dur !
Ce qui me paraît extraordinaire c'est que vous ayez gardé mémoire d'une de mes phrases que je ne me rappelle plus (mais que j'approuve tout de même). J'en ai le rose aux joues !!
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