La belle île de Taïwan, démocratique, et à qui il ne manque aujourd'hui pour des raisons diplomatiques, que le statut officiel de "République indépendante", a produit depuis soixante ans de très nombreux et talentueux cinéastes, dont l'oeuvre est largement commentée sur notre site. Voici une douzaine de titres de films taïwanais à connaitre :

• Warriors of the rainbow de Te-Sheng Wei (2011), chroniqué par Spontex
• Vive l'amour (1994) de Tsai Ming-liang, chroniqué par Dumbledore
• The Hole (1998) de Tsai Ming-liang, chroniqué par Dumbledore
• Salé, sucré (1994) de Ang Lee
• Yi yi (2000), de Edward Yang, gros succès critique (prix de la mise en scène à Cannes) et public
• A Brighter Summer Day (1991) de Edward Yang
• The Assassin (2015) de Hsiao-hsien Hou, chroniqué par moi-même
• Les Garçons de Fengguei (1983) de Hsiao-hsien Hou, chroniqué par moi-même
• Un Eté chez grand-père (1984) de Hsiao-hsien Hou, chroniqué par moi-même
• Un Temps pour vivre, un temps pour mourir (1985) de Hsiao-hsien Hou, chroniqué par moi-même
• Millennium Mambo (2001) de Hsiao-hsien Hou, chroniqué par Impétueux. A Cannes, Prix du Jury, Nomination pour la palme d'or, le grand prix et le prix de la mise en scène
• Poussières dans le vent (1987) de Hsiao-hsien Hou, chroniqué par moi-même, peut-être le meilleur film taiwanais.

Le cinéma taïwanais a produit aussi des oeuvres "bis" qui ont fait l'objet d'une rétrospective à la cinémathèque française en 2019.

Nous souhaitons le meilleur aux Taiwanais, à leurs artistes, à la culture taïwanaise, loin de la dictature. vincentp