Christian Bale, masque impassible d'où suinte le regret et le tourment, accompagne un Cheyenne mourant ( Wes Studi, visage parcheminé, laconique) dans son dernier voyage. Paysages magnifiques où les silhouettes sont des points minuscules, personnages à peine esquissés auxquels la mort donne un contour, langueur mélancolique des lumières bleutées. Et la violence qui surgit, dérisoire et soudaine.
C'est beau à s'en fendre l'âme.
Un grand film.
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