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Cinéma
Aloïse
France
Drame

Sortie France : 2 avril 1975
Première mondiale : 1975
La fiche technique complète sur IMDb

200414/05/2009
Réalisateur et scénariste :
Liliane de Kermadec

Scénariste :
André Téchiné

Producteur :
Alain Dahan

Directeurs de la photographie :
Jean Penzer
Gilbert Duhalde

Monteur :
Claudine Merlin

Société de production :
Unité Trois

Acteurs :
Isabelle Huppert (Aloïse enfant)
Delphine Seyrig (Aloïse adulte)
Marc Eyraud (le père d'Aloïse)
Michael Lonsdale (un médecin)
Valérie Schoeller (Elise jeune)
Monique Lejeune (Elise adulte)
Julien Guiomar (le directeur de théâtre)
Roger Blin (le professeur de chant)
Jacques Debary (l'ancien directeur)
Roland Dubillard (le professeur)
Jacques Weber (l'ingénieur)
Nita Klein (l'infirmière en chef)
Hans Verner (le chapelain)
Alice Reichen (la microphonée)
François Chatelet (le pasteur)

Résumé

A la fin du siècle dernier, Aloïse est née en Suisse. C'est une enfant sans mère, profondément attachée à son père, qui grandit entre ses frères et soeurs dans une famille modeste. On sent en elle de grandes aspirations, surtout artistiques. La musique et le chant d'abord l'intéressent. Mais, comme possibilité de s'exprimer, il n'y a, au début, que la messe. Un jour, elle a un mouvement d'orgueil. Elle regrette que des voix médiocres couvrent la sienne dans l'église. Rien d'autre que l'art ne la passionne. Elle s'imagine cantatrice. Elle refuse un fiancé, jeune homme bon et aimable qui aurait pu la rendre heureuse. Comme il lui faut bien travailler, on la retrouve à Postdam, gouvernante de trois petites filles du chapelain de l'empereur Guillaume II. Quand la déclaration de guerre survient, on lui dit qu'il faut qu'elle quitte l'Allemagne. Elle commence à s'exalter. Elle crie son incompréhension de la guerre, de tout ce qui se passe. Rentrée en Suisse, elle monologue dans les rues, jette ses meubles par la fenêtre. Bientôt, il faut l'interner. Une longue existence de réclusion s'ouvre pour elle. Elle se met à écrire, s'enfermant fréquemment dans les W.C. Son délire, que nous appelons peut-être ainsi parce que nous ne le comprenons pas, s'exprime ensuite par la peinture sur de grands rouleaux de papiers collés. Des experts s'intéressent à ses oeuvres. On les expose, et on les loue. Très âgée, Aloïse visite la galerie et fait des commentaires, parfois très critiques, sur ses anciennes toiles. Puis elle meurt, n'ayant jamais quitté l'asile, laissant à la postérité le souvenir d'un être exigeant et mystérieusement créateur. (Les Fiches du Cinéma)

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