Un plaidoyer contre la peine de mort mais aussi un témoignage de ce que fut le communisme polonais peu avant sa disparition : un cadre à la fois triste et ordonné, une vie des individus assez contrôlée, avec sans doute des avantages pour les moins vaillants… Et puis il y a le style de Kieslowski, grand cinéaste, dont le talent de conteur, caméra interposée, est ici évident. Présence des thèmes qui reviennent d'un film à l'autre : les femmes sensuelles, une certaine aspiration à un monde idéal, un certain mysticisme de la pensée… Présence de figures récurrentes également : l'eau dans le verre, les miroirs réfléchissants…
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