Début juillet 1950. Le Japon stupéfait découvre qu'un incendie criminel vient de détruire l'un des plus illustres trésors nationaux, le Pavillon d'or du temple Rokuon-ji, à Kyôto. L'Asahi, quotidien japonais, relate l'arrestation d'un coupable, un jeune bonze bègue voulant disparaître avec le Pavillon d'or. Pour Yukio Mishima : « Mon roman est une étude approfondie des mobiles d'un crime. Une conception superficielle et baroque de quelque chose comme la Beauté, peut suffire à provoquer l'acte criminel d'incendier un trésor national. » Mais, aussi une œuvre empreinte de poésie et rendant compte de l'inaltérable présence de la tradition bouddhique au Japon. L'adaptation cinématographique de celle-ci par Kon Ichikawa.
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