Une de mes plus belles découvertes de ces derniers temps: noir et banc superbe, intrigue passionnante menée tambour battant, grande modernité dans la façon de traiter le probléme de la xénophobie et du peu de considération pour les immigrés latinos.
Le film est bien fait; comme souvent on a dit que Welles lui-même avait dirigé quelques scènes, notamment l'ouverture. Ce qui est certain, c'est qu'Orson s'est très bien entendu avec le producteur Albert Zugsmith au poin de réaliser l'année suivante La soif du mal pour le compte de ce dernier. Et force est de constater que Le salaire du diable préfigure de façon étonnante Touch of Evil, à commencer par le personnage joué par Welles dans ces deux oeuvres.
Un film qui donne envie de redécouvrir la carrière de Jack Arnold, surtout connu pour ses films de science-fiction, surtout L'homme qui retrécit
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