A noter qu'il est question de la bataille de Shiloh (guerre de Secession) aussi bien dans Jane Got a Gun que dans Le pistolero de la rivière rouge. Les héros masculins de ces deux films sont passés par des combats sanglants lors de la guerre civile et ont des psychologies communes.
Concernant les ressorts narratifs de ce film : ils peuvent être appréciés naturellement de différentes façons. J'ai vu bien pire dans le cinéma contemporain US (ex : La La Land).
A titre personnel, un truc m'est resté sur l'estomac : le tunnel de 20 minutes dans le noir quasi complet (à partir de 1h08 environ). Et pendant le climax par-dessus le marché !
Mais je vois que Steve McQueen l'avait déjà souligné.
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