Après les crocos, les zombies, les cannibales irradiés, voici que le nouveau croque-mitaines made in U.S. n'est autre qu'un pied de vigne maya, dont la voracité rendrait jalouse la plante de La petite boutique des horreurs. A partir d'un postulat aussi ridicule, il est difficile de ne pas rire aux attaques du méchant végétal, même si les scènes d'amputation et d'auto-mutilation ôtent vite toute envie de rigoler.
Le côté inéluctable rappelle Open water, les jeunes acteurs sont plutôt bons dans l'hystérie permanente, mais The ruins ne va nulle-part, et demeure une série B sans personnalité, assez bien rythmée, mais dénuée de toute substance. Et cet éternel épilogue (ce n'est pas fini !!!) vu dans des centaines de films de ce genre, commence à être sérieusement usé.
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