Une déception, mon bon Arca. Le cinéaste confond vitesse et précipitation. La caméra en mouvement donne le tournis. L'intrigue est confuse, grand-guignolesque. Le cadre naturel -mexicain- est très mal exploité. Vraiment dommage, car il y avait matière à produire un film intéressant (un bon sujet, un bon budget, une bonne équipe de tournage).
Plus ça va, plus je pense que je vais finir par essayer ce film. Quel que soit le point cardinal sous lequel je hume le vent au sujet de ce Blueberry, ça sent la catastrophe. Et comme ça rigole vraiment peu au cinéma de nos jours, j'ai pensé qu'un peu d'humour involontaire me ferait le plus grand bien. Certes, il pourrait en aller autrement – je découvrirai un film tragiquement incompris, je sortirai là subjugué et hurlant au chef-d'oeuvre, etc – mais j'en doute. Même s'il y a Juliette Lewis dedans !
La suite au prochain numéro.
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