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Voici les derniers messages de ce forum :

Du fric dépensé pour ça ?


De fretyl, le 1er février 2021 à 23:36
Note du film : 1/6

Là où la première partie laisse attendre une comédie corrosive un de ces films bien gras sur le monde de l'information, des médias, de la pub… Les quelques souvenirs que j'ai : 99 francs avec Dujardin ne faisait pas dans l' eau de rose… C'est dur pour tout le monde s'en sortait pour un Blier visqueux et bougon… Ce qui était à peu prés tout.

Clavier n'a pas la mesure… Ça hésite trop souvent entre l'incisif, le provocateur, le vaudeville. Et la vulgarité évidente et attendue font de cette farce un semi-nanar que l'on peut encore regarder pour un ou deux moments cruels et véridiques.

C'est cependant mal joué. Les personnages inintéressants au possible. La deuxième partie est bâclée comme un sketch de Groland.

Bon, c'est une de ces comédies françaises multi diffusées que l' on prend en cours de route pour un moment ou deux et où, forcément exaspéré, on finit par lâcher. On regarde ça sans savoir pourquoi…

Grossier, fourre-tout, foutraque et désespérant de nullité par moment.

Pourtant un ou deux rires pourront encore subvenir, rires d'énervement ou de pitié pour cette pauvre chose ?

Peut-on appeler cela du cinéma ?


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De Impétueux, le 23 mars 2008 à 10:27

Ami star des neiges, votre fureur sacrée est sympathique et votre indignation justifiée sur la qualité de pareil film. Mais ne vous pensez-vous pas un peu grandiloquent lorsque vous écrivez Si c'est ça la culture, si c'est ça transmettre la culture, le savoir, l'auto-dérision, le miroir de l'être humain!!! ?

Pourquoi penser que la culture viendrait se nicher dans un petit machin de Jeannot Szwarc joué par ces considérables têtes pensantes que sont Christian Clavier, Marie-Anne Chazel et Clémentine Célarié ? Après tout, même aux plus beaux temps de la tragédie classique ou du drame romantique, il y avait, parallèlement, des quantités de pochades, de farces, de pantalonnades, de guignolades qui n'avaient, comme La vengeance d'une blonde ni intérêt, ni persistance…

La prétention d'un Jean-Luc Godard et de ses épigones, de Philippe Garel à Jean-Marie Straub-Danièle Huillet me paraît autrement grave…


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