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Les bagnoles de Funès


De JMZ, le 28 avril 2022 à 20:40

J’aimerais rectifier au sujet du début du film « L’homme-orchestre ». Louis de Funès conduit ici une Fiat 124 coupé, et pas une 850…


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De Gilou40, le 28 septembre 2009 à 23:48

Son fils….Mais son fils Olivier, aujourd'hui commandant de bord, ne faisait du cinéma que pour faire plaisir à son père. J'ai une vieille vhs ou on l'entend parler de ce papa célébrissime avec beaucoup de tendresse. Il y raconte l'émotion de son père, les yeux humides, quand une prise était bonne et qu'il exultait de joie. "-Il m'étreignait avec une telle force ! Et pourtant je savais déjà que je ferais autre chose de ma vie…-"

Mais ce que vous dites est vrai : Louis de funès aimait s'entourer des mêmes personnes, autant pour les acteurs que (et surtout) pour les techniciens. Il disait que les techniciens étaient son premier public et il avait besoin de leur réaction pour juger de la portée de ses gags.


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Peut-être pas grand, mais à son summum


De Tamatoa, le 31 octobre 2013 à 22:05
Note du film : 2/6

Que De Funès accepte, pendant des années de jouer tout et n'importe quoi, tel l'immonde Les râleurs font leur beurre que j'ai balancé à la poubelle sans regrets, jusqu'à ce que Le gendarme le fasse enfin accéder au firmament du cinéma, on peut le comprendre aisément. Mais en ces années 70, il était, avec Delon, l'acteur le mieux payé. Il était "bankable", comme on dit aujourd'hui. Un film se faisait sur son nom. Mais je me pose une question : comment a-t-il pu signer pour une telle fadaise si médiocre ? L’appât du gain ? Un scénario lu à la va vite ? Car ils sont nombreux les scénars que l'acteur a accepté sans trop de difficultés quitte à les rattraper ensuite avec moult grimaces. On prétend que les Russes ont réservé à ce film un accueil des plus chaleureux. Je pense que le climat a dû jouer pour beaucoup dans leur engouement pour cette œuvre bien loin de ce qui faisait le talent de De Funès. Et puis ce côté dialogue chanté à la Demy est d'un ridicule, comme l'est le duo entre De Funès et son fils : "-Quand tu fais la-la-la, pense aux conséquences…-". C'est lourdingue, sans saveur. Je passe sur les ballets interminables. Perso, je qualifie ce film de regardable, pas plus. Et je suis fan !

Très déçu !


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De vincentp, le 13 février 2012 à 22:56

Il y a pourtant une explication fort simple. François de Roubaix a forcément commencé par des films modestes, à ses débuts (âgé d'une vingtaine d'années). Au début des années 1970, sa côte a grimpé et l'on voit que les films auxquels il a collaboré deviennent plus prestigieux. Il est mort malheureusement pour lui pile au moment ou il accédait à la notoriété (âgé de 36 ans, d'un accident de plongée) et à reçu un César posthume pour sa contribution à Le vieux fusil (première cérémonie des césars, à une époque aussi ou les contributeurs divers -décors, costumes, musiques etc…- se voient reconnaître formellement leur contribution). Sans cette fin dramatique, ce compositeur aurait probablement continué à progresser (sa notoriété de pair) avec pourquoi pas une reconnaissance outre-Atlantique, et la possibilité de choisir ses contributions, forcément pour des films de qualité. Replaçons donc le parcours de F de Roubaix dans son contexte !

D'autre part, s'il y a une reconnaissance aujourd'hui pour de Roubaix, c'est bien celle du monde de la musique car ses compositions continuent de vivre à travers les âges (cd, concerts). C'est là le privilège des artistes ! Ce que je fais au boulot (la mise en place d'un progiciel de paie) a quant à lui une durée de vie qui ne dépasse pas les cinq ans…


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