Oh là là, mais je manque â mes plus élémentaires devoirs ! D'autant plus que ce film italien date de 1971, année objet de toutes mes convoitises. Heureusement que Jarriq veille au grain pour me ramener dans la juste voie. Je tiens Irène Papas pour une très grande comédienne, avec plein de facettes (n'a-t-elle pas tourné dans ce giallo la même année qu'elle était des Troyennes !), et j'admire le parcours d'Ornella Muti, castée d'abord et avant tout pour sa beauté de rêve mais qui, de film en film, est devenue une vraie actrice. (D'ailleurs, je voterais bien pour le film qui a marqué ses débuts à l'écran, La moglie più bella (Seule contre la mafia, 1969) de Damiano Damiani, mais il n'est pas référencé…)

Par contre, j'avoue piteusement n'avoir encore aucun Lenzi dans ma collection (mais ce sera réparé d'ici peu : La Rançon de la peur a l'air bien); et, plus piteusement encore, n'avoir jamais vu ce chef-d'oeuvre immortel qu'est sûrement ce Cannibal ferox !

Cela dit, étonnement pour étonnement, cher Jarriq, je suis surpris de ne pas vous avoir encore rencontré sur la fiche de Sukedachi-ya Sukeroku…

Papas, Muti, Carlo Ponti à la production, le réalisateur de Cannibal ferox, le tout pour un polar italien ? Mais enfin… Arca…