Une séquence du film est en outre insolite : celle où Cary Grant, accompagné de Deborah Kerr, se rend – me semble-t-il – chez sa grand-mère. Un passage surprenant par sa longueur par rapport à la durée du film et par le subtil et mélancolique "carpe diem" qui s'en dégage… (Gaulhenrix)
Je n'accroche pas pour ma part à cette version 1957 de Elle et lui. Le film est bien fait, très pro., mais à mes yeux est loin, très loin d'égaler la version 1939 de la même histoire, mise en scène par le même Leo Mc Carey. La première version (1939) produisait poésie, émotion, creusait de façon fantastique la psychologie des personnages (portée par des comédiens tout aussi fantastiques). On ne retrouve pas tout ceci ici.
Eh bien… oui ! C'est fait ! Bien agréable de revoir ce film qui bénéficie, en plus, d'un excellent cinémascope. Je pense que j'avais une bonne mémoire d'ensemble de ce film et n'étais pas surpris des scènes que je découvrais les unes après les autres. S'il est des films que nous revoyons, nos réactions sont assez diverses en fonction des sujets et ce que nous avions déjà dit sur les divers forums, nous entretenons nos habitudes de revoir plus ou moins régulièrement certains de nos films préférés.
A noter : au moment de l'accident, la caméra qui remonte l'Empire State Building nous fait apercevoir un drapeau avec la croix rouge alors que les badauds viennent voir ce qui se passe. Séquence suivante, alors que Cary Grant au 102ème étage attend, on entend les sirènes de l'ambulance qui emmène Deborah Kherr…
A propos de la version que j'ai vue – zone 1 – une scène avec des gamins réintroduite dans le film. Visionnant la version française, les personnages parlent et chantent en anglais tandis qu'apparaissent les sous-titres en bas de l'écran.
Excellent souvenir concernant deux grands acteurs et l'évocation des grands moments de leurs carrières à l'époque du film dans les bonus…
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