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De Arca1943, le 28 avril 2012 à 19:01
Note du film : 4/6

A-ha ! Je doit déposer un protêt sur un sujet très, très important !

Bien que j'aie ramené On aura tout vu à mon club vidéo pour éviter les frais de retard, je crois citer textuellement la secrétaire de Morlock lorsque celui-ci lui remet le scénario corédigé par Pierre Richard – puis revu et corrigé par le salace Gérard Jugnot – avec instruction de s'en occuper en priorité. Montrant d'épaisses piles de feuilles dactylographiées sur son bureau, elle proteste :

« Mais monsieur, je n'ai pas fini de brocher Les Pipeuses ! »

Comment, quoi, elle dit « brocher » ? Oui môssieur, elle dit bel et bien « brocher », ah mais. Et dans le sens exact que je donne moi-même à ce verbe, qui signifie agrafer. On broche à l'aide d'une brocheuse, on agrafe à l'aide d'une agrafeuse.

Or, que me disait Impétueux sur le fil de Gina (film de Denys Arcand) ? Il me disait ceci :

« Je crains que Gina n'arrive jamais jusqu'à ce côté de l'Atlantique, mais au moins vous m'aurez donné la vélléité de regarder cette étrange production… et aussi d'apprendre quelque chose : "La stripteaseuse sort du motel pour aller brocher sur l'enseigne…" Qu'est-ce que ça peut bien vouloir dire « brocher », en québécois ? »

La même chose qu'en français, et voilà ! À preuve, l'usage idoine du verbe « brocher » dans les dialogues d'une comédie de 1976, dialogues signés par le très français Francis Veber, non mais.

Un (sic) aut' preuve que nous aut' au Québec, on sait tout l'temps de que c'est !


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De Impétueux, le 23 avril 2012 à 22:25

C'est vrai, ça fonctionne très bien, et Marielle y est merveilleusement odieux, stupéfiant de bonne conscience. A revoir !


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