Après le pathétique de l'épisode précédent, voici que la comédie prend la place avec un duo de jeunes comédiens (surtout René Poyen un spécialiste en la matière), qui enchaînent quelques numéros digne de Chaplin et du slapstick hollywoodien. Le rythme de l'épisode est tendu, le montage parallèle entre la mère qui disparaît et le fils qui débarque fonctionne très bien, tout comme cette fois la coïncidence de l'enfant qui libère les pigeons au bon moment.
Un des meilleurs épisodes de la série. Un des plus modernes aussi dans l'utilisation du montage parallèle qui permet d'accélerer l'action.
(suite au prochain numéro)
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