Le succès d'un film est souvent lié à des contribution artistiques plus ou moins anonymes. Parmi ces contributeurs, les compositeurs et interprètes des bandes sonores, qui participent à la création des ambiances. Tel Ry Cooder, auteur de BO particulièrement mémorables (Paris, Texas, Southern comfort -mon thème favori-,…), ethérées, country, ou proches parfois de thèmes pop comme ceux de Elton John.
On ne peut que conseiller à nos amis du forum de découvrir le double cd intitulé "music by Ry Cooder" (Warner bros), recueil de différents thèmes -ils sont 34-, notamment ceux des films de Wim Wenders. Ce double cd offre la particularité d'être particulièrement bien enregistré.
Mais il y a bien d'autres musiciens à écouter (Pino Donaggio, par exemple…).
Nous qui vous imaginions jeté sans ménagement au fond d'une geôle dès votre arrivée sur le sol de ce paradis du socialisme surréel ! Je suis bien soulagé. Mais voilà que, à vous lire, le doute s'insinue… Et s'ils vous avaient laissé sortir en échange de bons mots sur dvdtoile.com ? Aha! Mais oui, voilà l'explication ! Ça tombe sous le sens !
Merci à tous – et spécialement à Vincentp – pour ces nouvelles et souhaits également perfides ! Mais je suis revenu aujourd'hui même, à peine alangui par le décalage horaire et l'invraisemblable quantité de mojitos ingurgitée là-bas…
L'île est belle, La Havane est une ville merveilleuse, Trinidad une ville de conte de fées, les Cubains sont charmants, disponibles, souriants, honnêtes et fiers d'être cubains. La dictature leur a donné au moins l'éducation (pas un seul analphabète) et un système médical performant ; si toutes les dictatures pouvaient au moins en faire autant !
Cela étant, qui me trouble un peu plus, je livre à la compagnie ce bel aphorisme de Michel Houellebecq (dans Plateforme) : Comme toutes les sociétés, la société cubaine n'est qu'un laborieux dispositif de trucage élaboré dans le but de permettre à certains d'échapper aux travaux ennuyeux et pénibles.
Et de fait, sauf exception, ce sont les Cubaines noires qui, dans les palaces, passent la serpillière ; et les Cubaines blanches qui servent le touriste…
Mais, s'il vous plaît, n'ouvrons pas de débat là-dessus…
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