Le film est un petit bijou : bien mené, parfaitement ficelé, jouant à merveille avec les croisements des personnages et d'un humour beaucoup plus que généralement, avec des gags recourant rarement à la répétition.
On sent plusieurs des longs métrages de Charlie Chaplin dans celui-ci, Le dictateur évidemment sur le thème de la ressemblance, mais également Monsieur Verdoux dans la manière de jouer le personnage du riche, cynique et distant.
Plusieurs gags magistraux sont au rendez-vous. Par exemple, apprenant que sa femme va emménager dans une autre suite jusqu'à qu'il est réglé ses problèmes de boisson, Charlot le riche se retourne et son corps est secoué de soubresauts. Il pleure? Non, il secoue un shaker.
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