Depuis ce bal improvisé quarante ans se sont passés. Tante Gayané s’en est allée discrètement comme sa soeur Anna l’avait fait. Il reste encore la vieille échoppe au 168 de la rue Paradis à l’enseigne de “chemisier à façon”. Hagop et Araxi ont bien vieilli. Dans un grand théatre parisien, on répète une pièce intitulée La Chevalière. L’auteur s’appelle Pierre Zakar. Seul Hagop, son père est venu pour la générale. Mais suite à un grave malentendu, Hagop, quittera Paris et Pierre ne le reverra plus. Il restera à Pierre le remords rongeur que l’on traine tout le long d’une vie.
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